Actualité Bétail

Dans une tribune, le président de la Fédération nationale bovine dénonce une logique des responsables politiques visant à « faire avaler (aux éleveurs) des prix bas, de la fausse viande et des accords de libre-échange avec le monde entier ». [Lire la suite]

Du 10 au 17 mai, 38 portes-ouvertes ont été organisées en Bourgogne-Franche-Comté dans le cadre de la huitième édition des rencontres « Made in Viande ». Cet événement permet au public de découvrir la filière élevage et viande. [Lire la suite]

Bovins d'embouche et d'élevage - L'herbe est abondante et les travaux de printemps limitent les sorties. Les herbagés sont couverts pour la saison et la majeure partie de l'activité est assurée par les engraisseurs spécialisés, qui ont des besoins de rotation. Ces opérateurs sont indispensables pour les abatteurs, car ils sont souvent très réactifs à la demande et répondent aux besoins en période creuse. Les animaux lourds à finition rapide restent demandés et correctement valorisés. [Lire la suite]

Ce lundi 22 mai dans un rapport, la Cour des comptes a appelé à diminuer le cheptel bovin en France pour lutter contre les émissions à effet de serre. Mais pour Arnaud Rousseau, président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles en visite en Côte-d'Or ce vendredi 26 mai, c'est une fausse solution face au problème. [Lire la suite]

Bovins de races allaitantes : Les tarifs devraient se maintenir dans les bonnes femelles bouchère, mais le commerce restera sous tension dans les Charolaises et les allaitantes de choix secondaire.
Bovins de races laitières : Les industriels vont maintenir la pression sur les prix, malgré la faiblesse de l’offre.    
Jeunes bovins : La demande restera peu soutenue avec des tarifs plus discutés.

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L’herbe pousse vite et si les animaux en herbage poussent un peu moins vite sous la pluie, les conditions sont très favorables pour une belle saison, dès le retour du soleil. Les engraisseurs spécialisés n’ont pas de gros besoins face à la retenue de la demande des abattoirs. La modestie de l’offre permet de tenir les prix dans la bonne marchandise lourde pour les besoins de rotation. [Lire la suite]

Le 9 mars, la FRSEA et les JA d'Auvergne Rhône Alpes ont mené une opération de contrôle des prix et des provenances dans un magasin Carrefour de la banlieue lyonnaise. L'occasion de constater la commercialisation de viande importée. Les opérations de contrôle vont se poursuivre, avec une mobilisation devant le magasin Carrefour de Laval jeudi 11 mai. [Lire la suite]

Interbev et Inaporc organisent la 8 édition des Rencontres made in viande du 10 au 17 mai prochain. Une semaine durant laquelle 87 portes ouvertes sont organisées pour mettre en valeur les métiers de la filière et leurs engagements en faveur d’une viande plus durable. [Lire la suite]

Le niveau élevé du prix de steak haché dans les magasins a sérieusement ralenti la demande chez les industriels. Et les abatteurs maintiennent la pression sur les réformes laitières, malgré le recul de l’offre. [Lire la suite]

Alors que les importations de viande bovine sont majoritairement destinées à la restauration, la Fédération nationale bovine (FNB) dénonce, le 20 avril, « des "ballons d’essai" de l’ensemble de la grande distribution sur un approvisionnement à l’import ». [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois

Le commerce sera plus calme, car les herbagers sont couverts
Broutards

La demande restera soutenue dans les bons broutards d’automne.

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Sur les marchés. Les femelles de qualité bouchère s’écoulent avec un peu plus de difficulté vers la cheville traditionnelle ou les GMS avec des rayons Trad, car les animaux préparés pour Pâques sont déjà en chambre froide pour une bonne maturation. Les tarifs sont néanmoins relativement stables dans les bonnes femelles Blondes d’Aquitaine, Parthenaises ou Limousines, mais une légère tension est observée sur les bonnes Charolaises. [Lire la suite]

L'abattoir public de Bazas cherche des solutions pour s'en sortir. Une centaine d'éleveurs en dépendent et la structure fait vivre tout un territoire. [Voir la vidéo]

Bovins maigres +18 mois : Les besoins seront présents et les tarifs vont se maintenir face à des volumes peu abondants. 
Broutards : L’offre sera un peu plus étoffée, mais la demande restera présente pour des tarifs qui resteront à des niveaux très convenables.

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Entre un rapport de la Cour de comptes sacrificiel et un ex-ministre de l’Agriculture promouvant les produits simili-carnés, les éleveurs bovins se demandent à quelle sauce ils vont être mangés par l’urgence climatique. Réponses dans le Pacte et la loi d’orientation agricole ? [Lire la suite]

Bovins de boucherie - Au niveau commercial, les pluies qui ont arrosé une grande partie du pays la semaine passée ont donné un bon coup de fouet aux prairies et aux cultures. La crainte d'une sécheresse est repoussée, mais le déficit hydrique persiste dans le centre et le sud du pays. Sur les marchés et dans les abattoirs, l'offre saisonnière est limitée, avec des éleveurs qui s'affairent à rattraper le retard dans les travaux de printemps. Les éleveurs ne se précipitent pas pour vendre, car les prix restent attractifs, même s’ils plafonnent. [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : Les volumes resteront étriqués avec la profusion d’herbe dans les prairies. Les besoins seront présents et les tarifs vont se maintenir. 
Broutards : Le niveau de l’offre sera plus étoffé, avec une demande qui va ciblée les bons mâles herbés.

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Au niveau commercial, l’activité de la semaine est marquée par un nouveau férié. L’équilibre offre/ demande et l’absence de pression des abatteurs permettent de tenir les prix dans les femelles Parthenaises, Blondes d’Aquitaine, Aubracs, Limousines, Charolaises ou Blanc bleues de qualité bouchère, mais la tension est plus perceptible dans les Charolaises de second choix, légères ou plus âgées. Des signes de tension sont également perceptibles dans les allaitantes de choix secondaire, qui sont recherchées principalement pour la production de viande hachée de race à viande. [Lire la suite]

La coopérative La Périgourdine et la société Sobeval ont signé le premier contrat de vente de veaux classé « EGalim 2 » du département, vendredi 5 mai. Objectif ? Protéger la rémunération des agriculteurs. [Lire la suite]

Sur les marchés, les volumes sont étriqués avec des éleveurs qui sont accaparés par les travaux de saison (ramassage de l’herbe et semis de maïs). Ils sont peu disponibles pour la vente de leurs animaux. L’animation commerciale est plus régulière pour ce début de mois, avec des ponts qui devraient être plus favorables aux grillades. [Lire la suite]

Les importations françaises de viande bovine étaient évaluées en hausse en début d’année et les exportations se sont repliées, détaille l’Idele. L’inflation pèse sur la demande intérieure mais la chute de l’offre est encore plus importante à cause de la décapitalisation du cheptel, qui s’amplifie. Si bien que les prix continuent de se tenir, même si la concurrence européenne sur le marché commence à jouer sur les cotations. [Lire la suite]

Bovins de races allaitantes

Le commerce restera très calme avec des tarifs qui vont se stabiliser dans les Charolaises et les allaitantes d’entrée de gamme.
Bovins de races laitières

Le recul de l’offre devrait apporter une stabilisation dans les réformes laitières.    
Jeunes bovins

Le commerce sera très calme avec un nouveau recul des prix.

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Malgré la décapitalisation des cheptels bovins, les marchés de bétail vif français s’en sortent mieux que prévu. [Lire la suite]

Entre inflation et considérations environnementales, la viande n'a plus la côte dans l'assiette des Français. D'après une étude réalisée par Harris Interactive, plus de la moitié des Français affirment avoir diminué leur consommation de viande au cours des trois dernières années. [Lire la suite]