Actualité Bétail

L’Institut de l’élevage livre ses prévisions 2023 sur le marché de la viande bovine. Les disponibilités françaises vont rester en repli, et les importations en profiter. [Lire la suite]

100 % des veaux ont été vendus lors des enchères pour la deuxième série de taureaux limousins issus de la station nationale de qualification de Lanaud. [Lire la suite]

Les deux dernières notes de conjoncture de l’Idele soulignent la tendance à la décapitalisation du cheptel bovin français. Il ne s’agit pas d’un phénomène nouveau mais son accélération récente pose question : la France a perdu plus de 740 000 vaches entre 2016 et 2022. Le cheptel allaitant a notamment perdu 12% de ses effectifs sur les 5 dernières années. La montée des prix observée suffira-t-elle à redonner de l’attractivité au métier et une rentabilité à l’élevage français ? Elle risque de se heurter à un consentement à payer limité au moment où l’inflation pousse les consommateurs à arbitrer en fonction du prix. Conséquence directe, on peut observer que les importations ont déjà augmenté ; la viande bovine importée représente désormais 25% de la viande bovine consommée en France. [Lire la suite]

Succès pour les rencontres bovines Ter’élevage qui se sont déroulées le 7 décembre 2022 à Noyers-Bocage (14). 280 animaux présents autour de 180 éleveurs pour tenter de redynamiser une filière bovine qui décapitalise plus à l’ouest que dans le reste de l’Hexagone.

Et si on arrêtait de décapitaliser ? C’est un peu le challenge qu’ont proposé Estelle Mirande (présidente de la commission bovine de Ter’élevage) et son directeur général, Jérôme Arbus, lors de la journée « Les rencontres bovines » qui s’est déroulée le 7 décembre 2022 à Noyers-Bocage, dans le Calvados, devant plus de 180 éleveurs.

La Chine a levé l’interdiction mise en place en 2020 sur les importations de bœuf irlandais, ce qui permet la réouverture d’un marché estimé à plusieurs millions d’euros aux agriculteurs irlandais. [Lire la suite]

La Ville de Parthenay prévoit de réorganiser la gestion du bâtiment qui accueille le marché aux bestiaux, pour le rendre plus rentable. Deux appels d’offres ont été publiés en décembre. [Lire la suite]

Un an a passé et la contractualisation des bovins demeure marginale, constate la Confédération paysanne. [Lire la suite]

La grande majorité des marchés ont été annulés pendant les fêtes, mais l’approvisionnement des abattoirs a été planifié pour pallier au ralentissement de l’activité du négoce (privé ou coopératif) également en congés. Les tarifs sont relativement stables, mais la grande inconnue pour 2023 sera de savoir à quelle vitesse et dans quelles conditions vont se mettre en place les applications de la loi Egalim 2 , que ce soit dans les négociations commerciales entre les industriels et les distributeurs, ou dans la contractualisation qui revient sur le devant de la scène portée par le besoin de sécurisation de l’approvisionnement des outils industriels. [Lire la suite]

Début janvier, la viande issue du cheptel laitier rejoindra les autres catégories et devra, elle aussi, faire l’objet d’une contractualisation écrite de trois ans minimum entre l’éleveur et ses premiers acheteurs. Entre réticences d’éleveurs et réponses de la FNB, retour sur cette obligation issue de la loi Egalim 2, destinée à sécuriser le revenu des producteurs. [Lire la suite]

L’offre saisonnière reste étoffée et hétérogène en qualité. L’activité commerciale de cette fin d’année ne fait pas apparaître de grand changement sur le secteur maigre, face à des tarifs qui ne bougent pas dans les races à viande. [Lire la suite]

Au niveau commercial, les rayons pour Noël feront encore une belle place à la viande bovine, qui seront en partie fournis par les animaux de concours. Le commerce est régulier avec des tarifs qui se maintiennent dans les Parthenaises, Blondes d’Aquitaine (lourdes) ainsi que dans les femelles Charolaises, Blanc bleus, Aubracs et Limousines de qualité bouchère. [Lire la suite]

L'Institut de l'Elevage a simulé sur cas-types le revenu 2022 des élevages bovins viande. Hausse des prix des bovins et hausse des charges aboutissent à un revenu qui reste bas pour les systèmes spécialisés. Le revenu progresse nettement pour les systèmes avec cultures de vente. [Lire la suite]

L'élevage et l'industrie de la viande de Guadeloupe ont connu une année 2022 difficile en raison notamment des vols et des maladies qui ont frappé le cheptel. Des mesures pourraient-elles les sauver ? [Lire la suite]

Depuis son rachat, il y a un an, le pôle viandes locales de Bourganeuf dans la Creuse a réglé presque toutes ses difficultés, mais il reste encore quelques travaux à financer pour pérenniser l’outil. [Lire la suite]

Les bovins et leur viande en provenance du Royaume-Uni et d’Irlande du Nord ne sont plus admissibles au Maroc. Ainsi en a décidé l’ADII (l’Administration des douanes et impôts indirects) dans une circulaire. La mesure a pris effet le 1er janvier et est valable une année. [Lire la suite]

Au niveau commercial, cette nouvelle année débute avec une très faible activité dans les abattoirs qui ont pour la plupart supprimé un jour de travail. Les commandes des magasins ne sont pas au rendez-vous avec des stocks qu’il faut résorber après les fêtes, alors que les promotions de porc prennent beaucoup de place dans la communication des GMS. [Lire la suite]

Après une édition 2021 chahutée sur sa deuxième partie par l'une des vagues de Covid, les concours d'animaux de boucherie de Noël se sont bien déroulés cette année. [Lire la suite]

À la fin de l’année 2022, les prix des viandes bovines sont restés globalement orientés par une hausse qui ne compense qu’une partie de l’augmentation des charges. [Lire la suite]

L’activité commerciale de cette fin d’année est très calme sur les marchés alors que c’est l’effervescence dans les entreprises pour la préparation des commandes pour les fêtes. Si certaines pièces n’enregistrent pas de difficultés d’écoulement, d’autres ne trouvent pas preneur et encombrent les entrepôts frigorifiques. [Lire la suite]

C’est la loi de l’offre et de la demande. Avec moins d’abattages de vaches laitières et une demande française et européenne de viande bovine toujours bien présente, les cours se maintiennent à des niveaux élevés, analyse l’Idele. [Lire la suite]

Baisse de la production, flambée des prix des bovins, hausse des coûts de production et baisse des achats de viande des ménages, coup de rétroviseur sur l’année 2022. [Lire la suite]

Lancé il y a un an et demi par une éleveuse de Côte-d'Or, l'abattoir mobile «Le Boeuf Ethique», visant à améliorer les conditions d'abattage des animaux, a été placé en redressement judiciaire. Sa fondatrice cherche de nouveaux financements. [Lire la suite]

L’ambiance dans les campagnes est meilleure que l’an passé à la même période face à des tarifs plus rémunérateurs dans la viande, même si ces hausses sont largement entamées par la flambée des coûts de production. [Lire la suite]