Actualité Bétail

Au regard des courbes d’évolution des prix, les industriels se posent la question, ou va le prix du bœuf, et quelles en seront les conséquences sur la consommation. [Lire la suite]

Bovins d’embouche et d’élevage – Si la demande est moins prégnante que ces dernières semaines, avec des engraisseurs qui sont déjà très chargés. La demande reste néanmoins soutenue face à des industriels qui craignent une rupture dans leurs approvisionnements cet été. La grande fermeté des prix de la viande contribue à soutenir les prix que ce soit dans les Blondes d’Aquitaine [Lire la suite]

Bovins de boucherie – Sur les marchés et dans les abattoirs, les volumes sont de plus en plus étriqués avec des éleveurs qui sont accaparés par les travaux de saison (ramassage de l’herbe et semis de maïs). Ils sont peu disponibles pour la vente de leurs animaux. L’activité commerciale reste très fluide, mais les abatteurs vont néanmoins profiter, des semaines 3 semaines écourtées successives pour tenter de stabiliser les prix, après la forte inflation de ce début d’année. [Lire la suite]

Bovins d’embouche et d’élevage – Le niveau de l’offre tend à régresser, face à une demande qui est également moins prégnante que ces dernières semaines, avec des herbagers qui ont souvent couvert leurs besoins à cette période de l’année. Le prix du maigre reste intimement lié à la valorisation de la viande. On observe un maintien des prix dans les très bonnes femelles, avec des engraisseurs spécialisés qui restent demandeurs dans les animaux lourds avec des kg qui ne seront plus à produire. La vente est un peu plus sélective dans les herbagères bas de gamme. Les tarifs restent très convenables dans les vaches avec du gabarit.

Bovins de boucherie – Les distributeurs accentuent les promotions de viande de bœuf (côte de bœuf, faux-filet, basse côte ou entrecôte) pour mettre en avant ces produits à quelques jours de Pâques. Les ventes se détendent quelque peu avec des tarifs souvent attractifs. Les usines de transformation ont continué leurs productions de viande hachée avec des disponibilités qui s’étiolent dans les réformes laitières, mais avec plus de volumes en provenance des avants de jeunes bovins. [Lire la suite]

Depuis 10.000 ans, vaches et taureaux ont été façonnés afin de répondre aux besoins des humains en viande et en lait. Jusqu'à imposer dans les années 1960 l'insémination artificielle pour diffuser la semence des meilleurs reproducteurs. Un modèle industriel à bout de souffle qui favorise le développement de maladies génétiques. [Lire la suite]

Bovins d’embouche et d’élevage – L’équilibre offre/demande et les tarifs pratiqués dans la viande restent favorables à la production. Les engraisseurs subissent le marché, avec des niveaux de prix élevés, mais ils n’ont pas le choix pour maintenir leurs niveaux d’activité. Les herbagers sont également à l’achat, mais les besoins commencent à être couverts. [Lire la suite]

Sous l’effet de la FCO, la production laitière française a poursuivi début 2025 le recul amorcé fin 2024, malgré des prix du lait plutôt [Lire la suite]

En 2023, le marché intérieur français de la génétique animale représente un chiffre d’affaires estimé à 434 millions d’€. [Lire la suite]

Les maladies animales se multiplient et font des ravages qui vont se poursuivre dans les fermes, pour toutes les espèces. Elles génèrent de très grosses difficultés pour les éleveurs et les éleveuses. Les dépenses de l'Etat dans la lutte contre ces maladies explosent, et pourtant les indemnisations sont rarement à la hauteur des pertes réellement encaissées par les élevages. [Lire la suite]

Bovins de boucherie – Les conditions climatiques sont très favorables à la mise à l’herbe, et aux travaux de saison. Même si l’activité des abattoirs est amoindrie par les fériés de ce début mai, les volumes peinent à couvrir une demande qui se montre plus régulière pour ce début de mois. [Lire la suite]

Au regard des courbes d’évolution des prix, les industriels se posent la question : où va le prix du bœuf, et quelles en seront les conséquences sur la consommation ? [Lire la suite]

Veaux d’engraissement et d’élevage – Les volumes sont modestes, avec un ramassage des veaux perturbé par le lundi de Pâques. Les intégrateurs en profitent pour stopper la tendance haussière de ces dernières semaines. Les transactions restent néanmoins très fluides avec des tarifs qui demeurent élevés dans les veaux Holsteins, Normands, Montbéliards... [Lire la suite]

Après le long week-end de Pâques, le mois de mai sera très écourté avec les grands ponts du 1er et 8 mai et de l’Ascension, qui tombent des jeudis. Les salariés qui en ont la possibilité ont planifié des congés. Cela devrait quelque peu perturber l’activité des entreprises de transformation, même si les plannings ont été anticipés. Les abattoirs fonctionneront sur 4 jours, mais c’est déjà le cas pour bon nombre d’entre eux au regard des faibles disponibilités actuelles en vaches. [Lire la suite]

D’après un sondage réalisé sur Web-agri (échantillon non redressé), la moitié des éleveurs n’ont pas vacciné leurs bovins contre les épizooties. Une donnée à prendre avec des pincettes, mais qui donne un aperçu du déploiement de la couverture vaccinale en l’absence d’observatoire national. [Lire la suite]

La décapitalisation bovine est loin d’être un mal français. Dans ses Tendances Lait et Viande, l’Institut de l’élevage met un coup de projecteur sur l’évolution du cheptel bovin européen, et personne n’est épargné. [Lire la suite]

Veaux d’engraissement et d’élevage – Les intégrateurs, qui avaient anticipé l’arrêt des PCR sur l’Espagne en revalorisation des veaux laitiers, se retrouvent de nouveau confortés à la demande espagnole, alors que les volumes ne cessent de baisser. Les transactions sont très fluides avec des niveaux de prix toujours aussi élevés dans les veaux Holsteins, Normands. Montbéliards ou les Abondances. [Lire la suite]

Un foyer de tuberculose bovine a été détecté dans un élevage du Tarn-et-Garonne. Une première depuis 2021. Le préfet a pris un arrêté pour endiguer la progression de cette maladie. [Lire la suite]

Bovins de boucherie - A trois semaines de Pâques, les concours d’animaux de boucherie font le plein avec près de 10 % d’animaux en plus par rapport à 2024. Ces volumes sont en contradiction avec une demande limitée, notamment en direction des GMS qui ont perdu énormément de marge dans la revalorisation importante des prix dans la viande conventionnelle. La chasse aux Grands Prix est nettement moins soutenue que ces dernières années. Une plaque suffit pour mettre en valeur le rayon boucherie, avec des chefs bouchers très soucieux de l’équilibre économique de leur activité. [Lire la suite]

Bovins d’embouche et d’élevage – La mise à l’herbe est à l’ordre du jour dans de nombreuses exploitations avec le retour du soleil et de températures printanières. La pousse de l’herbe est plus active, mais avec des écarts entre les régions en fonction des températures. Les engraisseurs et herbagers restent demandeurs même s’ils butent sur les tarifs élevés du maigre. [Lire la suite]

Le cheptel européen de bovins (laitiers et allaitants) a reculé de 2,6 % en 2024 (à 71,8 millions de têtes) marquant une accélération de sa baisse par rapport au rythme des dernières années, selon les chiffres publiés par la Commission européenne. [Lire la suite]