Actualité Bétail

Veaux d’engraissement et d’élevage – La situation est marquée par le creux des vêlages et une demande inassouvie pour la production française (sortie de novembre), mais également de l’export. Les gros veaux Prim’Holsteins, Abondances ou Montbéliards destinés à l’export restent activement recherchés avec des niveaux de prix toujours très élevés. [Lire la suite]

Veaux d’engraissement et d’élevage – Malgré des volumes peu abondants sur les marchés avec la période des vêlages qui approche de son point bas, les intégrateurs profitent de cette semaine écourtée pour maintenir les prix des petits veaux. Le commerce est fluide, avec des tarifs qui se maintiennent sans difficulté dans les Prim’Holsteins, [lire la suite]

La demande à l’export reste ferme alors que la disponibilité en broutards diminue dans l’Hexagone. En cause, la décapitalisation bovine [Lire la suite]

En avril 2025, les abattages de bovins reculent de 1,7 % sur un an, et de 7,3 % par rapport à la moyenne 2020-2024. [Lire la suite]

Les abattages de bovins accusent un nouveau recul en avril 2025. Ils baissent de 1,7 % par rapport au même mois de 2024, et de 7,3 % par rapport à leur moyenne quinquennale de 2020 à 2024. Ceux de vaches allaitantes rebondissent de 7,6 %. [Lire la suite]

Bovins de boucherie – Les éleveurs profitent d’une belle saison d’herbage (mis à part dans le Nord qui souffre déjà de sécheresse). Les abatteurs souffrent de la période de soudure avant les sorties d’herbage, sur une base où l’offre saisonnière est déjà basse. Pour compenser ce manque, ils se rabattent sur les engraisseurs pour assurer les volumes. [Lire la suite]

La fièvre catarrhale ovine à sérotype 3, qui était déjà présente en Haute-Garonne et dans le Tarn-et-Garonne, est maintenant aussi officiellement détectée dans le Tarn. [Lire la suite]

Veaux d’engraissement et d’élevage – Les intégrateurs ne couvrent pas leurs besoins, avec une activité à l’export plus soutenue après deux semaines écourtées. Le commerce est très actif dans les veaux Holsteins. Cette tendance haussière est également observée en Allemagne ou en Espagne [Lire la suite]

La filière bovine traverse un début d’année 2025 contrasté, marqué par une baisse de la consommation et une tension persistante sur l’offre, entraînant une hausse généralisée des cours. [Lire la suite]

Bovins de boucherie - Pour les industriels, l’actualité est plutôt tournée sur la gestion des volumes pour approvisionner leurs outils et fournir leurs clients. Contrairement à l’an passé, la météo est très favorable aux implantations des cultures de printemps, et aux ramassages de l’herbe [Lire la suite]

Bovins d’embouche et d’élevage – L’herbe pousse vite et les animaux en herbage profitent de conditions très favorables. L’activité commerciale reste perturbée avec peu de marchandise disponible cette semaine. [Lire la suite]

Bovins de boucherie – Avec le retour des beaux jours et un week-end de l’Ascension ensoleillé, la consommation de viande retrouve un peu de dynamisme. Les abatteurs ont des stocks à écouler dans les pièces nobles après un mois de mai assez morose. En revanche, aucun stock n’est constaté dans le minerai pour la production de viande hachée. Les prix à la consommation progressent doucement et sont même en décalage avec l’envolée des prix du bétail vif depuis le début de l’année. [Lire la suite]

Bovins de boucherie – L’animation commerciale du moment fait face à un recul de la demande pour cette nouvelle semaine écourtée de l’Ascension. Le manque d’ensoleillement pénalise toujours les ventes des pièces nobles à griller. Les Français achètent moins de viande dans les magasins ou les boucheries, même si les hausses observées depuis le début de l’année ont été peu répercutées. [Lire la suite]

Si l’envolée des prix est remarquable en France et sur l’ensemble des pays de l’UE, le marché mondial est également chahuté. [Lire la suite]

Chaque année, en amont du salon de l’agriculture Nouvelle-Aquitaine, des délégations étrangères viennent découvrir la génétique des élevages néo-aquitains. Visite chez les Fauré-Roux, éleveurs de Limousines dans le Médoc, avec des professionnels chinois, lituaniens, hongrois et espagnols [Lire la suite]

Après l’envolée historique des prix des bovins depuis le début de l’année (+ 25 à 30 % selon les catégories), une stabilisation semble se dessiner sur le marché intérieur sous l’impulsion des abattoirs. Face à une consommation qui fléchit, sans que les hausses de prix soient encore intégralement répercutées, les signaux passent au rouge pour la filière de la transformation. [Lire la suite]

Veaux d’engraissement et d’élevage - L’offre est conforme au creux saisonnier des vêlages avec un impact très ressenti des pandémies de FCO et de la diminution constante du cheptel laitier. Les intégrateurs peinent sérieusement à couvrir leurs besoins avec une concurrence féroce entre les gros opérateurs. L’activité à l’export est également très soutenue, [Lire la suite]

L’animal qui produit le plus de lait au monde est bien connu, mais derrière ce constat simple se cache une réalité bien plus complexe, façonnée par l’environnement, les systèmes agricoles et les dynamiques économiques mondiales. Voici un panorama complet de la production laitière à l’échelle planétaire. [Lire la suite]

Bovins de boucherie - Sur les marchés et dans les abattoirs, l’offre saisonnière est en repli avec des conditions climatiques favorables à la pousse de l’herbe. Les températures actuelles sont idéales pour les vaches qui apprécient un thermomètre entre 5 et 15°C. Les éleveurs ne se précipitent pas pour vendre, face à des conditions de marché très porteuses. [Lire la suite]

Conduire la transition écologique de l’agriculture tout en garantissant la souveraineté alimentaire européenne à moyen et long terme. Un double défi qui vient s’inscrire dans un contexte économique tendu

Depuis l’apparition en France des sérotypes BTV-3 (FCO3) et BTV-8 (FCO8) de la fièvre catarrhale ovine, les éleveurs sont confrontés à une crise sanitaire d’une ampleur inédite. [Lire la suite]