Actualité Bétail

Après des années de décapitalisation, le manque de bovins commence à peser sur le fonctionnement des abattoirs. Avec la diminution du cheptel, certaines structures sont contraintes de modifier les durées de fonctionnement des chaînes de production. [Lire la suite]

A la veille du Sommet de l’élevage, la présidente de la FNSEA « lance un cri d’alerte pour stopper la décapitalisation silencieuse du cheptel français ». [Lire la suite]

Pour « juguler » le recul du cheptel allaitant et assurer l’approvisionnement de ses adhérents, Culture Viande, le syndicat des entreprises de l’abattage-découpe, prône la contractualisation, quitte à aller jusqu’au modèle d’intégration.

A l’occasion du dernier Congrès d’Elvea France, les intervenants de l’aval ont confessé leurs inquiétudes face à la contraction en cours et à venir des disponibilités issues du cheptel bovin français. Lesquelles vont inévitablement se traduire par de prochaines restructurations chez les opérateurs de l’aval. [Lire la suite]

Sur les marchés, l’activité commerciale reste assez régulière en cette période post-rentrée. Les disponibilités demeurent juste suffisantes avec l’impact des ensilages de maïs qui animent les campagnes. L’écoulement reste assez régulier avec des tarifs mieux défendus dans les Blondes d’Aquitaine, Limousines ou Charolaises de qualité bouchère. [Lire la suite]

Selon une étude de l''Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, le monde n'a jamais mangé autant de viande, et la consommation devrait même augmenter de 15% d'ici à 2031. [Voir la vidéo]

Sous sa marque La Nouvelle Agriculture, Elivia lance «le colis des éleveurs». Il s’agit d’un lot de pièces de viande bovine origine France d’un poids fixe total de 3 kilos, équivalent à 25 portions. [Lire la suite]

La viande est le produit alimentaire dont le prix a le plus augmenté ces dernières semaines, de presque 25% par rapport à 2021. Si certaines boucheries choissent de répercuter cette hausse sur leurs tarifs, d'autres résistent. [Lire la suite]

Les abattages de gros bovins bio allaitants ont poursuivi leur croissance sur l'année 2021. Ce sont 20 260 tec qui ont été commercialisées, soit 3 % de plus qu'en 2020. [Lire la suite]

Le Conseil d'Etat a suspendu en urgence l'interdiction des appellations « steak », « lardons » ou « saucisses », pour les produits végétaux. Une décision est maintenant attendue sur le fond. [Lire la suite]

Dans les rayons de cette grande surface, le steak est étiqueté à six euros, le poulet premier prix à plus de quatre euros. Alors, les clients ont dû changer leurs habitudes d'achat. [Voir la vidéo]

«Les grosses pièces – type gigot entier – ne sont plus adaptées à une consommation usuelle», reconnaît la branche ovine d’Interbev dans un communiqué du 14 mars. Preuve d’un besoin d’évolution dans la découpe, selon une étude européenne publiée en 2021, seules 36% des personnes interrogées trouvent que les découpes actuelles «sont rapides à préparer». Pour amorcer ce virage, la filière lance donc une campagne sur trois ans, avec une première phase en 2022. [Lire la suite]

Un contrat dans les conditions de la loi Egalim2 a été signé par Terrena et Elivia avec Système U. Il porte sur des génisses charolaises "Nouvelle Agriculture". [Lire la suite]

Alors que l’offre de viande bovine française se fait rare, la part des importations augmente dans notre consommation nationale. Par ailleurs les flux intra-européens ont évolué des suites du Brexit. [Lire la suite]

Lors du 1er Congrès de Culture Viande qui a réuni le 21 septembre 2022 près de 250 personnes, plusieurs revendications ont été formulées. Décryptage. [Lire la suite]

Les disponibilités pour les prochaines semaines seront faibles, avec des éleveurs qui ont plus vendu pendant la période de sécheresse et qui profitent du reverdissement des prairies. [Lire la suite]

Repris en 2020 par Unicor après le dépôt de bilan d’Arcadie Sud-Ouest, l’abattoir a retrouvé un rythme important. Pour le maintenir au niveau, la coopérative a lancé un vaste plan d’investissement. Avec notamment en ligne de mire le travail sur la production de viande en portions. [Lire la suite]

Avec la reprise de l’abattoir d’Arsac, en 2020, Unicor s’est lancé pleinement dans le pari de la transformation. Avec pour objectif de toucher davantage la grande distribution. Un changement d’envergure pour l’entreprise qui fait ainsi le pari de l’agroalimentaire pour continuer sa croissance. [Lire la suite]

Les entreprises de la filière viande installées près de Parthenay, terre d’élevage en Deux-Sèvres, sont frappées de plein fouet par l’inflation. En septembre, certains éleveurs bovins pourraient même vendre des animaux plus tôt que prévu. [Lire la suite]

Après avoir quasiment quintuplé depuis 1960, la consommation mondiale de viande devrait encore augmenter de 15 % d’ici à 2031. [Lire la suite]

JBS SA, le plus grand préparateur de viande au monde, a enregistré une baisse de près de 10 % de son bénéfice net, à 766 millions de dollars, en raison de la faiblesse relative de ses unités de viande bovine et porcine aux États-Unis au deuxième trimestre, selon une déclaration de résultats publiée jeudi. [Lire la suite]

Si la consommation de viande en France est repartie à la hausse de 1,0 % sur un an, soit + 0,7 % en moyenne par habitant, la consommation de viande bovine est restée stable, à 22,1 kg équivalent-carcasse par habitant, le niveau le plus faible depuis 20 ans. [Lire la suite]

Distorsion de la concurrence aux dépens des startups françaises, impact sur le marché, nouvelles dénominations autorisées... L'application du décret publié fin juin, qui interdit d'appeler « viande » la viande végétale, suscite de nombreuses interrogations chez les acteurs de la filière. Un référé-suspension devant le Conseil d'Etat attend d'être jugé, alors qu'on réfléchit à d'autres actions en justice. [Lire la suite]

Durant les trois jours de la manifestation, le pôle viande va émoustiller l’odorat et les papilles des visiteurs dans le chapiteau des organisations professionnelles agricoles (OPA). L’espace va regrouper différents partenaires : les coopératives Cevinor et Cobevial, Elvea Hauts-de-France, la fédération régionale des commerçants en bestiaux, les établissements Pruvost Leroy, Bigard ou encore Interbev. Objectif affiché : mettre en avant la qualité de la viande produite par les éleveurs de la région à travers des dégustations de viande Label rouge. 

La filière bovine française a survécu à la crise sanitaire de la vache folle voici près de 25 ans. Saura t’elle résister au choc tarifaire suite à la réduction de l’offre en Europe ? Puisque le Salon International de l’Agriculture vient de fermer ses portes sans apporter la réponse à cette interrogation, Culture Viande se doit d’établir un diagnostic avant de tracer quelques pistes. [Lire la suite]