Actualité Bétail

Cette semaine, les équipes de France 2 vous font découvrir les plus beaux marchés français. Lundi 31 mai, cap sur celui de Saint-Christophe-en-Brionnais, en Bourgogne. Il s’agit de l’un des plus anciens marchés aux bestiaux de France. [Lire la suite et voir la vidéo]

Lancé par l'Etat dans le cadre du plan de relance, le plan de modernisation des abattoirs profitera à celui de Migennes, concerné à hauteur d'1,355 million d'euros. Ce financement donnera un coup d'accélérateur aux investissements programmés par le groupe Sicarev sur le site. [Lire la suite]

En jeunes bovins, l’activité commerciale se complique. Le marché italien, qui souffre de l’absence de touristes, donne la priorité à la production nationale. La concurrence des différents pays exportateurs vers ce débouché s’accentue. En réformes laitières, l’offre s’amoindrit et les abatteurs sollicitent de plus en plus leurs fournisseurs.

En jeunes bovins, les tarifs des charolais U se tassent entre 3,86 € à Cholet et 3,90 € à Rethel. Les prix des blonds d’Aquitaine de moins d’un an plafonnent autour de 4,20 € tandis que les plus lourds se vendent à 4,00 €. Cette tension commerciale n’est pas de bon augure pour la filière de l’engraissement qui doit faire face à un renchérissement des matières premières et des coûts de production.

Dans les vaches de réforme laitières, aucun changement tarifaire n’est observé pour le moment. Les prix des vaches prim’holsteins P+ lourdes ou O– se maintiennent entre 2,95 et 3,00 € et la majorité des femelles P=3 se valorise entre 2,80 et 2,90 € en fonction du poids et des abattoirs.

Ailleurs en Europe, les cours progressent. En Allemagne, la cotation de la vache O s’établit à 3,07 €. En Irlande, les prix des vaches P oscillent entre 3,30 et 3,40 € et les vaches O atteignent 3,45 à 3,55 €.

À l’occasion des rencontres Made in viande qui doivent se dérouler à la fin du mois de mai, nous sommes partis à la rencontre des acteurs de la filière bovine des Hauts-de-France. Des éleveurs et acheteurs qui se croisent aux marchés au bestiaux, des abattoirs et des bouchers qui profitent du consommer local… Ils nous livrent leurs actus et ressentis ! [Lire la suite]

Jeudi 20 mai, le comité des foires de Moulins-Engilbert et la Sicafome qui gère le marché au Cadran organiseront leur traditionnelle foire concours aux culards suivie d'une vente aux enchères. Un protocole sanitaire sera à respecter et il n'y aura toujours pas de repas sous chapiteau. Pour tous renseignements sur l'organisation, contacter la Sicafome au 03.86.84.28.75 ainsi que pour connaître le règlement intérieur du concours.

Une paysanne bourguignonne défend un élevage respectueux de la nature, de l’animal et du consommateur. La seule vraie bonne viande provient de troupeaux nourris à l’herbe et abattus sans souffrance. La preuve par Le Bœuf éthique. [Voir la vidéo]

En lançant au mois de juin prochain son abattoir mobile sur les routes de la région, Émilie Jeannin, éleveuse de charolais en Côte-d’Or, veut faire retrouver du sens et de la marge aux agriculteurs. [Lire la suite]

La Foire aux culards de printemps se déroulera le mercredi 28 avril, à partir de 5h le matin, au foirail intercommunal à Châteaubriant. Un bovin culard présente la particularité d’une hypertrophie musculaire de l’arrière-train. C’est une vache prisée pour la qualité de sa viande, moins grasse et plus tendre. [Lire la suite]

Une question de survie. Alors que la France revoit en ce moment la répartition des aides reçues dans le cadre de la politique agricole commune (PAC), les quelque 81.000 éleveurs bovins de France tirent la sonnette d’alarme. Selon les dernières tractations avec le ministère de l’Agriculture, la baisse des aides couplées (liées à la production) qui leur sont accordées pourrait ainsi atteindre 210 millions d’euros en 2023 selon la fédération du secteur (FNB), pour tomber à 400 millions par an. En cause: la réorientation de ces aides couplées vers les filières végétales que le gouvernement veut pousser. La somme est conséquente: elle représente environ 700 euros en moins par éleveur et par mois.

« En janvier 2021, les exportations de bovins maigres reculent de 10,4 % sur un an », rapporte Agreste, le service de la statistique du ministère de l’Agriculture. « Ces données, calculées du 1er au 31 janvier, restent à considérer avec recul car le mois de janvier 2021 compte deux jours ouvrés de moins qu’en 2020, ce qui peut expliquer cette baisse constatée par les Douanes », prévient Alix Gérardin, économiste à l’Institut de l’élevage. [Lire la suite]

Dans un rapport commun, la FNH, Interbev et l’Institut Veblen soulèvent la nécessité de réformer la politique commerciale européenne qui place les éleveurs et agriculteurs en situation de concurrence déloyale. [Lire la suite]

Le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux a publié le 20 mai 2021 un rapport sur la contractualisation de l’engraissement des bovins en France. Six recommandations sont formulées pour son déploiement. [Lire la suite]

Les abattages de gros bovins ont reculé de 9,5 % en têtes et 9,7 % en tonnes sur les deux premiers mois de l’année comparé à la même période de 2020 selon les données de la Commission. Le nombre d’animaux abattus a baissé dans tous les principaux pays producteurs : -13,7 % en Allemagne, -4,3 % en Irlande, -4 % en France, -4,3 % en Italie, -15,4 % aux Pays-Bas, -14,7 % en Pologne.  Le recul était de rigueur quelle que soit la catégorie d’animaux considérée, la baisse allant de –7,7 % pour les taureaux à -12,5 % pour les taurillons et –10,3 % pour les vaches. Comme les abattages européens ont fortement décrochés en avril et mai 2020 à cause des confinements, avant de se rattraper en juin, la comparaison avec l’année dernière sera moins pertinente sur les données suivantes.  

Cette forte baisse de l’offre s’accompagne de prix plus élevés que l’an dernier dans toutes les catégories, en semaine 18, Bruxelles estime ainsi que les prix carcasses des vaches dépassaient de 16,4 % leur niveau de 2020.

Le Gaec de la Fosse Louvière  réalisait mardi 4 mai un diagnostic
Boviwell. Objectif : qualifier le niveau de respect du bien-être animal dans la ferme. L’obtention du Boviwell permet d’accéder à des labels pour mieux valoriser ses animaux. [Lire la suite]

La démarche locale est au cœur du projet de l'association. Ainsi, les bêtes sont sélectionnées dans les troupeaux par l'entreprise Bovi-Coop, basée à Meillonnas, et tuées soit à l'abattoir Tropal à Bourg-en-Bresse (nouvellement dénommé Viandes de Bresse), soit à celui de Gesler, près du Plateau d'Hauteville. [Lire la suite]

Depuis 2010, la production de viande bovine bio est extrêmement dynamique, mais de nombreux animaux mâles ou en maigre partent vers le conventionnel. Et les carcasses bio sont plus légères. La valorisation pourrait être supérieure. [Lire la suite]

Les éleveurs du Bessin ont été invités à une réunion d’information sur la tuberculose bovine après la découverte d’un cas en abattoir, dont l’exploitation est basée dans le secteur du Molay-Littry. C’est le septième cas de tuberculose bovine découvert dans le Calvados cette année.

Les exportations françaises de broutards légers ont reculé de 11,8 % en février par rapport à l’an dernier, et de 20,6 % en cumul sur les deux premiers mois de l’année, à 30 500 têtes, rapporte Agreste. A l’inverse nos exportations de broutards lourds se sont tenues, mais n’ont pas permis de compenser cette baisse, et l’ensemble de nos envois sur janvier-février a reculé de 5,8 % à 188 075 têtes.  [Lire la suite]

Labellisée, locale… Dans l’Allier, d’où provient la viande de bœuf Label rouge que les Bourbonnais retrouvent dans leurs assiettes ? Certaines enseignes à l’instar de Cora, à Vichy, joue la carte terroir en proposant dans ses rayons boucherie traditionnels une viande bovine 100 % Label rouge, ou à défaut 100 % locale. [Lire la suite]

Depuis le début de l’année, les cours du veau mâle type lait de 45-50 kg sont au plus bas depuis quatre ans. Aucune amélioration du marché n’est à prévoir dans les prochaines semaines. [Lire la suite]

La loi de santé animale (LSA) entrera en vigueur ce 21 avril 2021. Elle implique un nouveau cadre sanitaire pour l’envoi de ruminants depuis la France vers les autres États membres de l’Union européenne. [Lire la suite]

Inauguré en décembre 2019, le marché au cadran de Saint-Yrieix-la-Perche a cessé ses activités depuis le 1er avril. [Lire la suite]

Véritable institution aveyronnaise, le marché aux bestiaux de LAISSAC fait vibrer le petit bourg chaque mardi depuis plus de quarante ans. Mais il faut remonter au XVe siècle pour renouer avec les racines de cette tradition structurante du monde agricole. [Lire la suite]