Actualité Bétail

Bovins maigres +18 mois : Les volumes mis en marché seront réduits, et les prix seront stables.  
Broutards : L’activité de la semaine prochaine sera perturbée par le férié du 24 juillet et par les congés d’été d’une partie de la profession.

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Le lancement de la saison estivale est attendu, mais elle ne devrait pas se concrétiser avant la mi-juillet, et sera compliquée pour la viande française malgré la présence d'une clientèle touristique étrangère et des Français qui seront encore nombreux à privilégier notre beau pays et sa gastronomie. [Lire la suite]

À contre-courant des tendances observées à l’échelle mondiale, la production de viande bovine de l’Union européenne continue de diminuer. Elle importe de plus en plus et exporte de moins en moins vers les pays tiers, ce qui la place dans une position très marginale dans un commerce mondial plus polarisé que jamais entre les Amériques et l’Asie. [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : Les besoins seront présents et les tarifs vont se maintenir face à des volumes peu abondants.  
Broutards : La demande restera présente pour des tarifs qui resteront à des niveaux très convenables dans les bons broutards et les taurillons légers. Les taurillons lourds seront moins demandés. [Lire la suite]

Le projet Valoveau, porté par l'Institut de l'élevage et démarré en 2021, cherche à développer de nouveaux débouchés pour les veaux d'origine laitière. [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : Les besoins seront présents et les tarifs vont se maintenir face à des volumes peu abondants. 
Broutards : L’offre sera un peu plus étoffée, mais la demande restera présente pour des tarifs qui resteront à des niveaux très convenables.

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Entre un rapport de la Cour de comptes sacrificiel et un ex-ministre de l’Agriculture promouvant les produits simili-carnés, les éleveurs bovins se demandent à quelle sauce ils vont être mangés par l’urgence climatique. Réponses dans le Pacte et la loi d’orientation agricole ? [Lire la suite]

Bovins d'embouche et d'élevage - L'herbe est abondante et les travaux de printemps limitent les sorties. Les herbagés sont couverts pour la saison et la majeure partie de l'activité est assurée par les engraisseurs spécialisés, qui ont des besoins de rotation. Ces opérateurs sont indispensables pour les abatteurs, car ils sont souvent très réactifs à la demande et répondent aux besoins en période creuse. Les animaux lourds à finition rapide restent demandés et correctement valorisés. [Lire la suite]

Ce lundi 22 mai dans un rapport, la Cour des comptes a appelé à diminuer le cheptel bovin en France pour lutter contre les émissions à effet de serre. Mais pour Arnaud Rousseau, président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles en visite en Côte-d'Or ce vendredi 26 mai, c'est une fausse solution face au problème. [Lire la suite]

Le retour de conditions plus favorables aux grillades devrait stabiliser le marché. [Lire la suite]

Bovins de races allaitantes : Les tarifs devraient se maintenir dans les bonnes femelles bouchère, mais le commerce restera sous tension dans les Charolaises et les allaitantes de choix secondaire.
Bovins de races laitières : Les industriels vont maintenir la pression sur les prix, malgré la faiblesse de l’offre.    
Jeunes bovins : La demande restera peu soutenue avec des tarifs plus discutés.

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Moulins-Engilbert. Foire-concours aux culards au Marché au cadran. La foire-concours aux bovins organisée conjointement par le comité des foires de Moulins-Engilbert et la Sicafome qui gère le Marché au cadran a réuni 171 animaux culards, jeudi. [Lire la suite]

L’herbe pousse vite et si les animaux en herbage poussent un peu moins vite sous la pluie, les conditions sont très favorables pour une belle saison, dès le retour du soleil. Les engraisseurs spécialisés n’ont pas de gros besoins face à la retenue de la demande des abattoirs. La modestie de l’offre permet de tenir les prix dans la bonne marchandise lourde pour les besoins de rotation. [Lire la suite]

Bovins de races à viande : Avec le début des vacances, la demande va se rétracter dans les très bonnes femelles avec un commerce qui va se reporter sur les zones de villégiature. La pression va s’accentuer sur le bétail d’entrée de gamme. 
Bovins de races laitières : Les abatteurs vont chercher à maintenir la pression malgré une forte baisse des volumes disponibles.  
Jeunes bovins : La tendance restera baissière sous la pression des abatteurs.

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Le cheptel bovin français présente un cas pratique du dilemme de la transition juste, note, dans une tribune au « Monde », le consultant en stratégie durable Franck Amalric, qui cherche à concilier les objectifs climatiques et le mode de vie des accros au steak frites qui sont bien souvent aussi les moins aisés financièrement. [Lire la suite]

Avec des fêtes de Pâques plus précoces cette année, les abattages d’agneaux ont reculé entre avril 2022 et avril 2023. Le cours de l’agneau est resté soutenu et les importations de viande ovine ont progressé. [Lire la suite]

Bovins de races allaitantes : Les tarifs vont se maintenir dans les bonnes femelles bouchère, et le commerce sera plus régulier dans les Charolaises et les allaitantes de choix secondaire.
Bovins de races laitières : Les industriels vont tout faire pour maintenir les prix 
Jeunes bovins : Le commerce restera compliqué face à la concurrence polonaise. [Lire la suite]

Dans une tribune, le président de la Fédération nationale bovine dénonce une logique des responsables politiques visant à « faire avaler (aux éleveurs) des prix bas, de la fausse viande et des accords de libre-échange avec le monde entier ». [Lire la suite]

Du 10 au 17 mai, 38 portes-ouvertes ont été organisées en Bourgogne-Franche-Comté dans le cadre de la huitième édition des rencontres « Made in Viande ». Cet événement permet au public de découvrir la filière élevage et viande. [Lire la suite]

Ovins – Si la fin du mois est synonyme de repli dans les achats, le retour de conditions climatiques plus favorables devrait, quant à lui, être propice aux sorties pour les barbecues (après trois semaines de grisaille). Les prix élevés sur les étals restent un frein à la consommation. L’activité commerciale est calme avec des tarifs qui se replient dans l’attente de l’Aïd El Kébir (fin juin). [Lire la suite]

Bovins de boucherie - Au niveau commercial, les pluies qui ont arrosé une grande partie du pays la semaine passée ont donné un bon coup de fouet aux prairies et aux cultures. La crainte d'une sécheresse est repoussée, mais le déficit hydrique persiste dans le centre et le sud du pays. Sur les marchés et dans les abattoirs, l'offre saisonnière est limitée, avec des éleveurs qui s'affairent à rattraper le retard dans les travaux de printemps. Les éleveurs ne se précipitent pas pour vendre, car les prix restent attractifs, même s’ils plafonnent. [Lire la suite]

À une semaine de Pâques (semaine 13 se terminant le 2 avril), la cotation a bondi de 0,23 €/kg d’une semaine sur l’autre, à 8,42 €/kg.

Bovins maigres +18 mois : Les volumes resteront étriqués avec la profusion d’herbe dans les prairies. Les besoins seront présents et les tarifs vont se maintenir. 
Broutards : Le niveau de l’offre sera plus étoffé, avec une demande qui va ciblée les bons mâles herbés.

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Agneaux : les conditions climatiques sont très peu favorables aux grillades et la demande des magasins n’est pas au rendez-vous face au recul des ventes de viande ovine. La tension sur le pouvoir d’achat et le prix élevé sont un handicap. [Lire la suite]