Actualité Bétail

Si la tendance ne sera probablement pas à la disparition de l’élevage, la décapitalisation va probablement se poursuivre dans les prochaines années, avec un risque : que le modèle dominant demain ne soit pas le plus vertueux, ni pour l’environnement, ni pour la dynamique des territoires. Pour la FNB, réunie en congrès les 1er et 2 février à Metz, un changement d’orientation politique fort est nécessaire pour défendre et promouvoir le modèle familial et herbager français. [Lire la suite]

D'après la dernière étude du panéliste Nielsen, sur un an, la catégorie de produits qui enregistre la plus forte hausse de prix est celle de la viande, volaille, abats et charcuterie surgelée. [Lire la suite]

Les dernières statistiques officielles chinoises indiquent une hausse de la production porcine intérieure de 6 % de janvier à septembre 2022 par rapport à 2021. [Lire la suite]

Depuis son rachat, il y a un an, le pôle viandes locales de Bourganeuf dans la Creuse a réglé presque toutes ses difficultés, mais il reste encore quelques travaux à financer pour pérenniser l’outil. [Lire la suite]

L’activité commerciale de cette fin d’année est très calme sur les marchés alors que c’est l’effervescence dans les entreprises pour la préparation des commandes pour les fêtes. Si certaines pièces n’enregistrent pas de difficultés d’écoulement, d’autres ne trouvent pas preneur et encombrent les entrepôts frigorifiques. [Lire la suite]

Début janvier, la viande issue du cheptel laitier rejoindra les autres catégories et devra, elle aussi, faire l’objet d’une contractualisation écrite de trois ans minimum entre l’éleveur et ses premiers acheteurs. Entre réticences d’éleveurs et réponses de la FNB, retour sur cette obligation issue de la loi Egalim 2, destinée à sécuriser le revenu des producteurs. [Lire la suite]

Lancé il y a un an et demi par une éleveuse de Côte-d'Or, l'abattoir mobile «Le Boeuf Ethique», visant à améliorer les conditions d'abattage des animaux, a été placé en redressement judiciaire. Sa fondatrice cherche de nouveaux financements. [Lire la suite]

L’offre saisonnière reste étoffée et hétérogène en qualité. L’activité commerciale de cette fin d’année ne fait pas apparaître de grand changement sur le secteur maigre, face à des tarifs qui ne bougent pas dans les races à viande. [Lire la suite]

Au niveau commercial, les rayons pour Noël feront encore une belle place à la viande bovine, qui seront en partie fournis par les animaux de concours. Le commerce est régulier avec des tarifs qui se maintiennent dans les Parthenaises, Blondes d’Aquitaine (lourdes) ainsi que dans les femelles Charolaises, Blanc bleus, Aubracs et Limousines de qualité bouchère. [Lire la suite]

Des éleveurs du pays de Châteaubriant (Loire-Atlantique) ont pour projet de bâtir un abattoir paysan dans le département pour répondre à leurs besoins. [Lire la suite]

Après des années de décapitalisation, le manque de bovins commence à peser sur le fonctionnement des abattoirs. Avec la diminution du cheptel, certaines structures sont contraintes de modifier les durées de fonctionnement des chaînes de production. [Lire la suite]

A la veille du Sommet de l’élevage, la présidente de la FNSEA « lance un cri d’alerte pour stopper la décapitalisation silencieuse du cheptel français ». [Lire la suite]

Pour « juguler » le recul du cheptel allaitant et assurer l’approvisionnement de ses adhérents, Culture Viande, le syndicat des entreprises de l’abattage-découpe, prône la contractualisation, quitte à aller jusqu’au modèle d’intégration.

Le persillé a un impact sur la qualité sensorielle de la viande bovine et peut être un levier pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs. Pour anticiper les modifications des modes de consommation, l'Institut de l'élevage a développé une grille d'évaluation visuelle du persillé à la demande d'Interbev, et travaille sur la recherche des facteurs d’élevage permettant d’améliorer son dépôt. A terme, le persillé pourrait être intégré aux critères d'évaluation des carcasses et influer sur la valorisation des animaux. [Lire la suite]

La baisse du nombre de vaches élevées en France se traduit par une « pénurie » de viande de bœuf française, et une hausse des importations, a alerté mercredi la fédération des éleveurs bovins (FNB). [Lire la suite]

L'élevage et l'industrie de la viande de Guadeloupe ont connu une année 2022 difficile en raison notamment des vols et des maladies qui ont frappé le cheptel. Des mesures pourraient-elles les sauver ? [Lire la suite]

La grande majorité des marchés ont été annulés pendant les fêtes, mais l’approvisionnement des abattoirs a été planifié pour pallier au ralentissement de l’activité du négoce (privé ou coopératif) également en congés. Les tarifs sont relativement stables, mais la grande inconnue pour 2023 sera de savoir à quelle vitesse et dans quelles conditions vont se mettre en place les applications de la loi Egalim 2 , que ce soit dans les négociations commerciales entre les industriels et les distributeurs, ou dans la contractualisation qui revient sur le devant de la scène portée par le besoin de sécurisation de l’approvisionnement des outils industriels. [Lire la suite]

Les prix des agneaux battent des records en cette fin d’année, alors que les disponibilités ont reculé par rapport à l’avant-Covid. [Lire la suite]

C’est la loi de l’offre et de la demande. Avec moins d’abattages de vaches laitières et une demande française et européenne de viande bovine toujours bien présente, les cours se maintiennent à des niveaux élevés, analyse l’Idele. [Lire la suite]

L’activité commerciale reste soutenue avec une demande qui s’oriente vers les agneaux laitons, alors que les abatteurs délaissent les agneaux gris encore présents sur les cadrans du centre du pays. Les agneaux de qualité sont très bien valorisés, mais de la baisse est enregistrée sur les gris de second choix. [Lire la suite]

L’ambiance dans les campagnes est meilleure que l’an passé à la même période face à des tarifs plus rémunérateurs dans la viande, même si ces hausses sont largement entamées par la flambée des coûts de production. [Lire la suite]

L’entreprise d’abattage mobile a été placée en redressement judiciaire. Un bien triste signal pour tous ceux qui ne s’accommodent pas d’un modèle écrasant, même si le Bœuf éthique (et symbolique) n’a pas poussé son dernier meuglement. [Lire la suite]

La filière élevage et viande normande, qui regroupe plus de 300 000 personnes de l’éleveur au distributeur, lance sa marque régionale "Viandes de Normandie" qui promet une viande 100 % normande (animaux nés, élevés et abattus en région). Une démarche qui doit permettre "d’influencer positivement la façon dont les consommateurs perçoivent ces produits" et qui s’inscrit dans le cadre de la démarche nationale "Aimez la viande, mangez-en mieux" d’Interbev (association nationale Interprofessionnelle du Bétail et des Viandes), qui encourage à consommer de manière raisonnée des produits de qualité.

Alors que l’offre de viande bovine française se fait rare, la part des importations augmente dans notre consommation nationale. Par ailleurs les flux intra-européens ont évolué des suites du Brexit. [Lire la suite]

Lors du 1er Congrès de Culture Viande qui a réuni le 21 septembre 2022 près de 250 personnes, plusieurs revendications ont été formulées. Décryptage. [Lire la suite]