Actualité Bétail

L’année 2022 a été une année de rupture pour la filière viande bovine, conséquence d’un contexte inflationniste inédit et mondial et à des problèmes structurels de longue date. Depuis plusieurs années, la filière fait face à une décapitalisation galopante du cheptel allaitant (baisse de 494 000 vaches entre le 1er décembre 2016 et le 1er décembre 2022). [Lire la suite]

Les températures sont plus douces et la pluie est la bienvenue pour le redémarrage de la végétation. Les engraisseurs cherchent à maintenir leur niveau de production dans la perspective d’une demande plus forte des abatteurs dans les mois à venir pour compenser le recul de l’offre en élevage après la mise à l’herbe. [Lire la suite]

L’État soutient le développement de la filière bovine à La Réunion
Fonds d’aide au développement et au maintien du cheptel allaitant 2023. [Lire la suite]

La décision est tombée mardi 28 février. L'entreprise "Le Bœuf éthique", qui œuvrait pour le bien-être animal avec son abattoir mobile, a été placée en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Dijon (Côte-d'Or). [Lire la suite]

La consommation de viande bovine française est restée stable au cours des onze premiers mois de 2022, mais avec moins de viande d’origine française qu’auparavant, nous apprend l’Institut de l’élevage dans le dernier "Tendance lait viande". La consommation en restauration hors domicile a en effet augmenté et, par manque de disponibilité, les importations de viande bovine ont progressé. Au détail, les ventes ont reculé en volume mais progressé en valeur à cause de l’inflation. [Lire la suite]

Le Salon de l'agriculture, une vitrine pour la filière bovine, ne doit pas masquer la réalité loin de Paris. En Limousin, le nombre d'exploitations et donc de vaches chute lourdement. Plus de 100 000 têtes depuis 2016. Et la tendance ne risque pas de s'inverser. [Voir la vidéo]

En Saône-et-Loire, Jean-Marie Vincent a arrêté de complémenter ses bovins à l'engraissement grâce au pâturage tournant. Si la technique fait ses preuves, il faut toutefois être vigilant sur la découpe des parcelles. [Lire la suite]

Entre son arrière-grand-père, son grand-père, son père et Baptiste, c'est une histoire de transmission réussie d'élevage laitier. Parce qu'ont été aussi transmis des savoir-faire et des valeurs telles que la passion, l'envie, le courage, le travail et l'humilité face à la nature. [Lire la suite]

Après avoir perdu 483 000 vaches allaitantes entre 2016 et 2022, la ferme France pourrait voir ses effectifs diminuer de près de 400 000 bêtes supplémentaires d’ici 2031 selon l’Institut de l’élevage. Seuls 4 éleveurs sur 10 cessant leur activité sont remplacés et les producteurs en place n’accroissent plus leur troupeau. [Lire la suite]

A l’approche du Salon international de l’agriculture, Limousin Promotion va renforcer sa communication auprès des consommateurs dans un contexte inflationniste qui pénalise les éleveurs. [Lire la suite]

Patrick Bénézit, éleveur de charolaises dans le Cantal, a été élu président de la Fédération nationale bovine le 14 février. Il succède à Bruno Dufayet qui, après deux mandats, ne se représentait pas.

Carton plein pour la première vente de l'année de la CELMAR, la coopérative des éleveurs de la Marche, à La Souterraine ce 9 mars. Les 37 jeunes taureaux reproducteurs à la vente ont tous trouvé preneurs. Un jeune taureau a même été acheté par un éleveur britannique. [Lire la suite]

Sur le plan commercial, les pièces nobles peinent toujours à trouver preneur, et ces produits se retrouvent souvent en promotion dans les grandes enseignes.  Sur les marchés ou en livraison directe dans les abattoirs, l’offre est juste suffisante pour couvrir la demande. [Lire la suite]

Concours, publicité… L’organisme de sélection de la blonde d’Aquitaine se donne les moyens de parler de ses animaux et de ses produits. En France et en Italie, la promotion de la race cible les consommateurs comme les professionnels agricoles, notamment grâce à la télévision. [Lire la suite]

Installée dans le paysage depuis 2016, la décapitalisation qui frappe le cheptel bovin français s’est accélérée l’année dernière, provoquant un recul de la production de viande. Nos voisins ont perdu plus de 800.000 vaches en six ans, et la barre du million devrait être franchie cette année. [Lire la suite]

Limiter le nombre de tétées des petits veaux allaitants est un plus pour améliorer la fertilité des vaches allaitantes. Avec une moindre fréquence de succion, les vaches reviennent plus vite en chaleur. Cette technique apprend également aux veaux complémentés à diversifier rapidement leur alimentation ce qui a un effet positif sur le GMQ. Seule ombre au tableau : l'astreinte quotidienne, même si à l'usage, les veaux apprennent vite à regagner leur case. [Lire la suite]

Les cheptels, situés dans le Villeneuvois, vont être partiellement ou totalement abattus. [Lire la suite]

AGRICULTURE L’élevage bovin français compte près d’un million de vaches de moins qu’il y a dix ans et pourrait en perdre quasi autant d’ici à 2030… Si la tendance est inquiétante, y a-t-il tout de même du positif à en tirer ? [Lire la suite]

Après une phase de stabilité en tout début d’année, les cotations du broutard réaugmentent depuis fin janvier. Elles sont soutenues par l’offre restreinte pour l’engraissement et par la fermeté de la demande en France et à l’étranger, en particulier du côté de l’Italie et de l’Algérie. [Lire la suite]

Le recul des cheptels laitiers et allaitants français est plus marqué que les projections le laissaient entrevoir. Il y a notamment beaucoup d'arrêts d'activité en élevage allaitant. [Lire la suite]

La meilleure compétitivité du blé par rapport au maïs a poussé FranceAgriMer à revoir ses estimations de janvier quant à l'utilisation de ces deux productions dans la fabrication d'aliments du bétail en 2022/23. Le secteur devrait par ailleurs utiliser 700 000 t de céréales de moins que la campagne passée. [Lire la suite]

Pour enrayer la destruction de la ferme France, il faut donner des perspectives. Or ces dernières sont compliquées à fixer dans un schéma global de concurrence intra et extra-européenne.

Le projet de décret relatif aux modalités de réévaluation des pertes de récolte en matière d’assurance sur prairies a été validé par la FNSEA mais ne convient toujours pas à la FNB, la FNO et la Fnec. [Lire la suite]