Veaux d’engraissement et d’élevage – Les intégrateurs ne couvrent pas leurs besoins, avec une activité à l’export plus soutenue après deux semaines écourtées. Le commerce est très actif dans les veaux Holsteins. Cette tendance haussière est également observée en Allemagne ou en Espagne [Lire la suite]

La filière bovine traverse un début d’année 2025 contrasté, marqué par une baisse de la consommation et une tension persistante sur l’offre, entraînant une hausse généralisée des cours. [Lire la suite]

Bovins de boucherie - Pour les industriels, l’actualité est plutôt tournée sur la gestion des volumes pour approvisionner leurs outils et fournir leurs clients. Contrairement à l’an passé, la météo est très favorable aux implantations des cultures de printemps, et aux ramassages de l’herbe [Lire la suite]

Agneaux – Même si la météo et les ponts de mai sont favorables, la consommation ne décolle pas au regard des prix qui restent élevés sur les étals. Les disponibilités en agneaux sont suffisantes pour la demande, ce qui entraîne un recul des prix, même si ces derniers restent très convenables pour les éleveurs. Des écarts de valorisation régionale sont observés en fonction de l’équilibre offre/demande locale. [Lire la suite]

Avec des prix records du lait et de la viande, la vache de réforme ne s’est jamais aussi bien portée et l’herbe n’a jamais été aussi verte pour la filière bovine. Quand la raréfaction de l’offre donne un avant-goût de la gestion de l’offre. [Lire la suite]

Depuis quelques semaines c'est l'effervescence dans les bergeries. Les éleveurs sont en pleine période d'agnelage. Cette année, les naissances sont moins nombreuses et plus tardives, en raison de la fièvre catarrhale qui a sévi dans les élevages. [Lire la suite]   

Au regard des courbes d’évolution des prix, les industriels se posent la question, ou va le prix du bœuf, et quelles en seront les conséquences sur la consommation. [Lire la suite]

Les deux marchés de la semaine ont enregistré un prix moyen stable, qui reste donc à 1,793 €. Les besoins ont semblé diversement orientés, mais l’ensemble des lots a trouvé preneur cette semaine. Les propositions d’enchères sont très resserrées autour de la moyenne. [Lire la suite]

Bovins d’embouche et d’élevage – Si la demande est moins prégnante que ces dernières semaines, avec des engraisseurs qui sont déjà très chargés. La demande reste néanmoins soutenue face à des industriels qui craignent une rupture dans leurs approvisionnements cet été. La grande fermeté des prix de la viande contribue à soutenir les prix que ce soit dans les Blondes d’Aquitaine [Lire la suite]

En 2023, l'agriculture de l'Union européenne (UE) représentait 365 millions de tonnes équivalent CO₂ (Mt CO₂-éq) d’émissions de gaz à effet de serre (GES), soit une diminution de 25 % par rapport à 1990. [Lire la suite]

Veaux d’engraissement et d’élevage – Les volumes sont modestes, avec un ramassage des veaux perturbé par le lundi de Pâques. Les intégrateurs en profitent pour stopper la tendance haussière de ces dernières semaines. Les transactions restent néanmoins très fluides avec des tarifs qui demeurent élevés dans les veaux Holsteins, Normands, Montbéliards... [Lire la suite]

Tendance de la semaine : un marché stable entre deux semaines à jour férié. Les deux marchés de la semaine ont enregistré un prix moyen stable, qui reste donc à 1,793 €. Les besoins ont semblé diversement orientés, mais l’ensemble des lots a trouvé preneur cette semaine. Les propositions d’enchères sont très resserrées autour de la moyenne. [Lire la suite]

Bovins d’embouche et d’élevage – Le niveau de l’offre tend à régresser, face à une demande qui est également moins prégnante que ces dernières semaines, avec des herbagers qui ont souvent couvert leurs besoins à cette période de l’année. Le prix du maigre reste intimement lié à la valorisation de la viande. On observe un maintien des prix dans les très bonnes femelles, avec des engraisseurs spécialisés qui restent demandeurs dans les animaux lourds avec des kg qui ne seront plus à produire. La vente est un peu plus sélective dans les herbagères bas de gamme. Les tarifs restent très convenables dans les vaches avec du gabarit.

Conduire la transition écologique de l’agriculture tout en garantissant la souveraineté alimentaire européenne à moyen et long terme. Un double défi qui vient s’inscrire dans un contexte économique tendu

Depuis l’apparition en France des sérotypes BTV-3 (FCO3) et BTV-8 (FCO8) de la fièvre catarrhale ovine, les éleveurs sont confrontés à une crise sanitaire d’une ampleur inédite. [Lire la suite]

Bovins d’embouche et d’élevage – L’herbe pousse vite et les animaux en herbage profitent de conditions très favorables. L’activité commerciale reste perturbée avec peu de marchandise disponible cette semaine. [Lire la suite]

Veaux d’engraissement et d’élevage – L’activité commerciale reste portée par la faiblesse saisonnière de l’offre. Les transactions demeurent très fluides avec des niveaux de prix qui restent élevés dans les veaux laitiers ou mixtes. Tous les opérateurs (français ou espagnols) manquent de veaux. [Lire la suite]

Après plusieurs années de repli, le marché de la viande retrouve une forme de stabilité. La dynamique est tirée par la viande hachée et la saucisserie, tandis que le bœuf et l’agneau doivent faire face à une offre restreinte et des habitudes d’achat en mutation. Tour d’horizon d’un rayon stratégique en pleine recomposition. [Lire la suite]

Les prix des denrées alimentaires dans le monde ont augmenté en avril, tirés par les cours des céréales, de la viande et des produit [Lire la suite]

Bovins de boucherie – Les conditions climatiques sont très favorables à la mise à l’herbe, et aux travaux de saison. Même si l’activité des abattoirs est amoindrie par les fériés de ce début mai, les volumes peinent à couvrir une demande qui se montre plus régulière pour ce début de mois. [Lire la suite]

Au regard des courbes d’évolution des prix, les industriels se posent la question : où va le prix du bœuf, et quelles en seront les conséquences sur la consommation ? [Lire la suite]

Bovins de boucherie – Sur les marchés et dans les abattoirs, les volumes sont de plus en plus étriqués avec des éleveurs qui sont accaparés par les travaux de saison (ramassage de l’herbe et semis de maïs). Ils sont peu disponibles pour la vente de leurs animaux. L’activité commerciale reste très fluide, mais les abatteurs vont néanmoins profiter, des semaines 3 semaines écourtées successives pour tenter de stabiliser les prix, après la forte inflation de ce début d’année. [Lire la suite]

Après le long week-end de Pâques, le mois de mai sera très écourté avec les grands ponts du 1er et 8 mai et de l’Ascension, qui tombent des jeudis. Les salariés qui en ont la possibilité ont planifié des congés. Cela devrait quelque peu perturber l’activité des entreprises de transformation, même si les plannings ont été anticipés. Les abattoirs fonctionneront sur 4 jours, mais c’est déjà le cas pour bon nombre d’entre eux au regard des faibles disponibilités actuelles en vaches. [Lire la suite]