Actualité Bétail

Pour rappel, les qualités à avoir pour être éleveur listées par le jeune producteur laitier :

1- Passion et abnégation, 2- Un contexte familial favorable, 3- La fibre animale, 4- Une formation et/ou expérience initiales, 5- Savoir gérer une entreprise [Lire la suite]

Les dernières statistiques officielles chinoises indiquent une hausse de la production porcine intérieure de 6 % de janvier à septembre 2022 par rapport à 2021. [Lire la suite]

Les agriculteurs bénéficiant d'un compteur d'une puissance inférieure à 36 kVA bénéficient du bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement. Pour les autres, les tarifs vont sérieusement augmenter au 1er janvier 2023. [Lire la suite]

Pour Nicolas Rose, directeur de l’Unité épidémiologie, santé et bien-être à l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), tout risque sanitaire est sous contrôle. Et si un cas de peste porcine africaine venait à se déclarer sur le territoire français, les acteurs sauraient se mobiliser. [Lire la suite]

Le mâle entier progresse lentement en France, alors qu’il est avéré qu’il coûte moins cher à produire. Les éleveurs qui continuent de castrer leurs animaux demandent une compensation. [Lire la suite]

Un éleveur puydômois témoigne suite à la diffusion d’un communiqué d’INAPORC alertant sur les risques d’importations liés au surcoût de l’électricité et sur la nécessité d’instaurer d’un bouclier énergétique, à l’instar de l’Allemagne ou l’Espagne. [Lire la suite]

De la même façon qu’ils cherchent à s’adapter aux variations des cours des céréales pour nourrir leurs animaux, les éleveurs multiplient les initiatives pour devenir autonome en énergie et notamment en électricité. En optant pour du solaire photovoltaïque, du solaire thermique ou de la méthanisation passive, ils réduisent aussi l’impact environnemental de leur exploitation. Exemples dans la filière porcine. [Lire la suite]

Depuis la mi-octobre, le cours du porc sur le marché de Plérin, dans les Côtes-d’Armor, est en recul de près de 10 %, observe dans sa chronique Laurence Girard, journaliste économique au « Monde ». [Lire la suite]

Le cours du porc a baissé à deux reprises cette semaine pour la première fois depuis mi-février. [Lire la suite]

Les abattoirs font face à un manque croissant de main-d’œuvre dans l’Union européenne. Pour répondre à cette pénurie, un développement de l’automatisation des chaînes d’abattage et de découpes s’envisage, même si de nombreuses contraintes complexifient ce déploiement. [Lire la suite]

La décapitalisation du cheptel bovin et la forte tension en production de porc liée à l’envolée de l’aliment et aux contraintes environnementales a conduit à un repli des effectifs européens. [Lire la suite]

Des experts réunis à l’AG du Comité régional porcin des Pays de la Loire préconisent la contractualisation en amont comme en aval. Ils rappellent aussi la nécessité de répondre aux nouvelles attentes des consommateurs par une offre plus segmentée. [Lire la suite]

Alors que le prix de l'agneau et du bœuf ont bondi de plus de 10%, celui de la volaille de plus de 14%, celui du porc, jusque-là resté plus ou moins stable, augmente aussi. [Lire la suite]

Pour la période qui s’ouvre, la PAC évolue dans la continuité des réformes précédentes pour les éleveurs de bovins viande. La guerre en Ukraine et l’inflation vont par contre probablement profondément changer les prochaines politiques européennes. [Lire la suite]

Sur les sept premiers mois de 2022, les importations françaises de produits de porc ont augmenté de 6,6 % en volume par rapport à 2021 (+ 372 000 tonnes). L’augmentation est encore plus importante en valeur du fait d’une hausse des prix du porc à la production, généralisée dans toute l’Europe (1,1 milliard d’euros soit +9,8 % en un an). [Lire la suite]

L’explosion du prix de l’électricité, qui vient s’ajouter à celle de l’aliment, met les producteurs de porcs charcutiers au pied du mur : comment continuer à produire sans pouvoir répercuter les coûts de production sur les prix de vente ? [Lire la suite]

La fabrication à la ferme fait désormais partie des principaux leviers de maîtrise des charges. Exemple avec un élevage ayant investi en ce sens. [Lire la suite]

Les abattages de porcs charcutiers ont reculé en octobre 2022 pour le cinquième mois consécutif. En parallèle, les échanges commerciaux sont marqués par un solde déficitaire. [Lire la suite]

Selon la dernière enquête réalisée au printemps dernier, le cheptel porcin français a significativement diminué de 2,5 % en un an. Il n’est plus que de 12,6 millions de têtes et de 907 000 truies.

Les marchés du porc vivant semblent tendre vers la stabilisation des cours, soutenue par un regain de demande à l’approche des fêtes de fin d’année. [Lire la suite]

Les exploitations porcines de la Mayenne sont menacées en raison du prix de vente du kilo de porc qui a baissé de 25 centimes depuis trois semaines alerte la FDSEA ce vendredi 18 novembre. Si la situation ne s'améliore pas, une pénurie de porc est à craindre. [Lire la suite]

La production d’agneau était tonique en Europe mais les prix restaient très élevés. Nos importations de viande ovine sont dynamiques.

Si jusqu’à récemment l’alimentation des porcs était dictée par des impératifs technico-économiques et environnementaux, l’arrêt de la castration impose de changer de paradigme. [Lire la suite]

Le secteur porcin avance à grands pas dans la lutte contre le réchauffement climatique. [Lire la suite]

Dans le cadre du Plan de sauvegarde adopté en février dernier, la demande de prise en charge de cotisations par les exploitants et employeurs de la filière porcine ayant subi des pertes significatives entre le 1er septembre 2021 et le 28 février 2022 est à adresser au plus tard le 9 septembre 2022 à la MSA. [Lire la suite]