Bovins de races à viande : La viande de qualité bouchère sera fournie par les nombreux concours. Les prix seront stables sur les marchés dans les femelles viandées. Le tri sera plus sensible dans le bétail d’entrée de gamme avec plus de sorties saisonnières.  

Bovins de races laitières : Le marché sera à l’équilibre avec des cours stables. 

Jeunes bovins : La tendance haussière de ces dernières semaines va s’amoindrir pour arriver à une stabilisation sur la mi-décembre. [Lire la suite]

Le commerce restera très fluide avec une offre qui devrait progresser en qualité avec les premiers agneaux laitons. [Lire la suite]

Des innovations utilisant l’intelligence artificielle étaient présentées au Space. Elles s’appuient sur la captation d’images et leur analyse à l’aide d’algorithmes et de bases de données. [Lire la suite]

Veaux : Le commerce restera régulier avec des intégrateurs vont œuvrer pour stabiliser les prix.   

Veaux de boucherie : Les disponibilité resteront juste suffisante pour les besoins du marché. [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : Les volumes seront plus étoffés ce qui devrait engendrer un tri plus marqué dans le bétail plus commun.

Broutards : Les volumes vont progresser ce qui va permettre une meilleure couverture de la demande. Les sujets vaccinés resteront activement recherchés pour le marché espagnol. [Lire la suite]

Veaux : Le commerce restera fluide, même si les intégrateurs vont œuvrer pour stabiliser les prix 

Veaux de boucherie : Le commerce restera fluide avec des tarifs très intéressant pour les intégrateurs. [Lire la suite]

La faiblesse saisonnière de l’offre sera favorable à la bonne tenue des prix des agneaux. [Lire la suite]

Les petits ruminants représentant plus de 7% des émissions mondiales de gaz à effet de serre provenant de l'activité humaine. En Limousin, cent-soixante agriculteurs ont rejoint le projet "Life Green Sheep". Conduit dans cinq pays européens, il vise à réduire de 12% les émissions de gaz à effet de serre de l'élevage ovin. Les exploitants engagés assurent que cette démarche "bas-carbone" n'affecte pas leur rentabilité. [Lire la suite]

Veaux : La détente devrait se confirmée en fonction de l’évolution de nombre de veaux. 

Veaux de boucherie : Le commerce restera fluide avec des tarifs très intéressant pour les intégrateurs. [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : Le commerce sera quelque peu perturbé par le férié du 11 novembre. Les prix seront stables.

Broutards : Les tarifs vont se maintenir faute d’offre suffisante en broutards vaccinés pour l’export, mais la demande intérieure restera peu soutenue pendant les travaux de saison. [Lire la suite]

Entre 2020 et 2023, en dépit d’une baisse de la consommation, le taux d’approvisionnement est passé de 107,3 à 100, sous l’effet de la contraction du cheptel. La tension sur l’offre, en France mais aussi dans l’UE, a fait bondir le prix moyen à 2,27€/kg, en hausse de 19,6% en un an. Le déficit commercial se creuse. [Lire la suite]

Alors que les négociations autour de l'accord entre l'UE et les pays du Mercosur semblent s'accélerer, les autorités brésiliennes ont stoppé les exportations vers l’UE de viande bovine de femelles potentiellement traitées à l’œstradiol 17β, une hormone dont l’utilisation est interdite par les normes européennes. [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : Les bonnes femelles lourdes resteront demandées, mais les tarifs seront à la baisse dans le bétail de second choix.

Broutards : Les tarifs resteront soutenus à l’export pour les animaux préparés pour l’export, mais la demande intérieure va se tasser pendant les travaux de saison. [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : Les sorties saisonnières vont entraîner un tri plus sensible dans le bétail de second choix. Le bon maigre va se maintenir.

Broutards : L’offre en sujets vaccinée progresse, mais elle restera insuffisante pour la demande. Cela sera moins le cas sur le début d’année. Les tarifs resteront très attractifs pour les éleveurs. [Lire la suite]

Veaux : Les mises en place des vacances de Pâques vont permettre de stabiliser les prix.   

Veaux de boucherie : Les disponibilités resteront juste suffisantes pour les besoins du marché. [Lire la suite]

Bovins de races à viande : Le marché sera à l’équilibre avec des tarifs qui devraient se maintenir sans trop de difficulté dans les femelles de race à viande.   

Bovins de races laitières : Les abatteurs vont chercher a maintenir les prix dans un contexte d’offre plus mesurée.

Jeunes bovins : Le déficit de production restera favorable à la fermeté des prix dans les jeunes bovins. [Lire la suite]

La faiblesse saisonnière de l’offre sera favorable à la bonne tenue des prix des agneaux. [Lire la suite]

Le numérique et l’intelligence artificielle se répandent en élevage porcin. Mais les éleveurs accepteront-ils de partager leurs données ? [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : Les volumes seront plus étoffés ce qui devrait engendrer un tri plus marqué de la part des engraisseurs.

Broutards : Les volumes d’animaux vaccinés vont progresser, mais la demande restera soutenue notamment du côté de l’Espagne. [Lire la suite]

Bovins de races à viande : Le commerce sera calme avec des industriels qui vont observer de très près l’ampleur de la mobilisation agricole et de leurs impacts sur les magasins.  

Bovins de races laitières : Le niveau de l’offre restera modeste avec des abatteurs qui vont chercher à contenir les prix.

Jeunes bovins : La fermeté des prix va se poursuivre encore quelques semaines. [Lire la suite]

Avec le Pheno3D, l’Institut de l’élevage entraîne l’intelligence artificielle au pointage des bovins. Une manière d’objectiver et de simplifier l’acquisition de données. [Lire la suite]

Bovins de races à viande : Les abatteurs auront suffisamment de marchandise pour une semaine écourtée par le férié du 11 novembre. Les prix seront stables.   

Bovins de races laitières : Avec les semis de blé qui se poursuivent, le marché devrait être à l’équilibre avec des cours stables. 

Jeunes bovins : La fermeté des prix va se poursuivre encore quelques semaines. [Lire la suite]

Entre offre globalement limitée et demande dynamique, le marché européen du jeune bovin est en tension ces dernières semaines, et les prix sont orientés à la hausse. [Lire la suite]

La relocalisation de l’engraissement est en marche. En France, de moins en moins de veaux naissent mais sur les sept mois de l’année, 203 000 animaux ont été achetés par les engraisseurs français, soit 10 000 têtes de plus qu’en 2023. [Lire la suite]

Veaux : La tendance sera à la détente avec des tarifs en progression en toutes catégories.  

Veaux de boucherie : Le commerce restera fluide avec des disponibilités juste suffisantes [Lire la suite]