Le report vers la distribution de la quasi-totalité des achats domestiques de viandes, ajouté à la chute brutale du commerce international de certaines d’entre elles rebat les cartes des circuits de commercialisation. Il est clair que dans l’ensemble, les consommateurs achètent plus français en temps de confinement et globalement, l’origine des produits change, parfois significativement. Mais de là à accepter de payer plus cher parce que c’est français… [Lire la suite]