Veaux d’engraissement et d’élevage – Les intégrateurs ont de la place pour mettre des veaux en production pour des sorties qui approchent des fêtes de fin d’année, mais l’offre reste limitée. La concurrence de la demande espagnole maintient le marché sous une pression positive dans les bons veaux Prim’Holsteins, Montbéliards, Normands ou Abondances. L’offre en croisés laitiers ou mixtes demeure insuffisante, ce qui permet une bonne tenue des prix dans les bons taupes ou Blanc bleus convenables. [Lire la suite]

Produite à partir de cellules de vache, elle est présentée comme une réponse aux enjeux climatiques, mais des doutes demeurent sur la véracité de telles considérations. [Lire la suite]

Selon une étude de l'Insee publiée le 19 juin et intitulée « Le compte de l'agriculture depuis 1980 », la production végétale s'est accrue en volume de 36 % au cours de cette période, avec une part des céréales qui a nettement reculé au profit des oléagineux. [Lire la suite]

De plus en plus de viandes consommées en France sont importées alors que le climat des affaires est de plus en plus tendu. Le pole animal de La Coopération agricole s’appuie sur la force de son réseau de ses 100 coopératives pour accroître les productions de viandes. Mais elle déplore… [Lire la suite]

Bovins de boucherie : 279 dont 12 bœufs, 56 génisses, 190 vaches, 5 taureaux, 16 jeunes bovins. Malgré la chaleur qui complique le commerce dans le secteur aval, la vente reste très fluide avec des volumes encore assez modestes. [Lire la suite]

Avec 196 millions de bovins, le brésil a accru sa production de 14% l’an dernier (+37% sur trois ans), ce qui renforce sa position dominante sur le marché mondial. [Lire la suite]

Dans une synthèse des Comptes de l'agriculture portant sur les 40 dernières années, publiée le 19 juin, l'Insee calcule que le chiffre d'affaires des productions animales françaises a stagné entre les périodes 1980-1984 et 2022-2024 (+2,8 %), tandis que les production [Lire la suite]

Bovins d’embouche et d’élevage – La modestie de l’offre générée par les travaux de saison et du niveau élevé des prix de la viande continue de favoriser les échanges avec des engraisseurs spécialisés qui peinent à assurer leurs besoins de rotations. [ire la suite]

Veaux d’engraissement et d’élevage – La faiblesse saisonnière de l’offre permet toujours une activité commerciale dynamique sur les marchés, même si les gros opérateurs ont stabilisé leurs prix dans les veaux laitiers dans l’attente de volumes [Lire la suite]

Une centaine de Simmental seront en concours le 8 octobre prochain sur le ring Lait du Sommet de l’élevage, à Cournon d’Auvergne. [Lire la suite]

En France, pendant une trentaine d’années, les principales lignées de virus influenza porcins (responsables de la grippe du porc) sont restées les mêmes, jusqu’à l’année 2020 où une nouvelle lignée a émergé et a rapidement remplacé certaines souches précédentes. [Lire la suite]

Marchés du lundi 16 juin 2025. Diffusion des marchés de Cholet (Maine-et-Loire) et le Porc Français (Plérin, Côtes-d’Armor). [Lire la suite]

Bovins d’embouche et d’élevage – La dynamique commerciale reste bonne dans le bon maigre, même si les tarifs se stabilisent face aux niveaux très élevés déjà atteints. Les animaux herbés de gabarit à finition rapide gardent la faveur des engraisseurs et restent très bien valorisés. [lire la suite]

Après une année 2023 record, la cotation du porc charcutier a reculé de plus de 10 % en 2024. La production totale est restée stable grâce à l’augmentation du poids des carcasses. [Lire la suite]

Alors que le groupe Terra Lacta tient ce mercredi 25 juin sa grande assemblée générale, ici Poitou prend des nouvelles des éleveurs caprins. Même si le prix du lait augmente, les charges explosent tellement que certains éleveurs s'inquiètent. [Lire la suite]

« Pour la première fois depuis dix mois, les naissances allaitantes étaient en hausse en avril », de 1 % par rapport à avril 2024 (à 311 000 têtes), constate l’Institut de l’élevage (Idele) dans son bulletin Tendances du 23 juin. Il s’agit de la première hausse depuis [Lire la suite]

La production d’ovins et les abattages d’agneaux ont baissé respectivement de 5,1% et 5,3%. Les importations de viande ovine ont reculé de 1,3% mais représentent 58,7% de la consommation intérieure, qui baisse de 3,8%. Le prix moyen de l’agneau atteint le niveau record de 9,4€/kg, selon une synthèse d’Agreste.[Lire la suite]

Agneaux – Le niveau des ventes est au ralenti, avec une mutation qui va s’opérer entre la forte baisse d’activité dans les grandes métropoles et l’approvisionnement des zones de villégiature. Le gros coup de chaleur est défavorable à la vente, et entraîne une tension sur un marché soumis à une forte concurrence du Royaume-Uni ou Espagnol. [Lire la suite]

Après 33 ans d'engagement au sein des GDS, dont 6 ans à la tête du GDS Bretagne, Thierry Le Druillennec a passé la main le 10 juin dernier. L'occasion de revenir sur son engagement [Lire la suite)

L’épidémie a été fulgurante. Transmise par un moucheron piqueur appelé culicoïdes, la maladie affecte très rapidement, début juin 2024, les ruminants des élevages des P.O., y compris des animaux en estives. La FCO se développe via une vingtaine de variants. [Lire la suite]

Bovins de boucherie – L’animation commerciale fait face à un recul de la demande, impactée par le coup de chaleur de cette semaine et par la revalorisation des prix sur les étals à une période charnière déjà peu favorable. Les Français achètent moins de viande dans les magasins ou les boucheries sur la seconde moitié de juin et début juillet. [Lire la suite]

La vache de réforme laitière à 6 €/kg. Qui aurait misé là-dessus il y a un an ? En juin 2024, la même Holstein ne dépassait pas les 3,50 €/kg. Et il y a 16 ans, au creux de la crise laitière, on peinait à vendre les ‘ vieilles vaches’ à 1 000 € pièce. Aujourd’hui, il faut mettre le double sur la table pour qu’elle monte dans le camion. Les acheteurs ont beau temporiser, le prix continue de grimper. [Lire la suite]