Actualité Bétail

Près d'un quart des abattoirs et usines de transformation de porcs est à l'arrêt. Faute de demande, les éleveurs sont contraints d'euthanasier leur cheptel. Les prix en magasin augmentent quand les cours sur les marchés financiers chutent. Les filières du boeuf et de la volaille sont également perturbées. [Lire la suite]

Aux quatre coins de l'Europe, une maladie non transmissible à l'homme se propage dans les élevages porcins. L'entraide internationale permet jusqu'ici de contenir l'épidémie. Exemple en Pologne et en Allemagne. [Lire la suite]

Pour tenter de faire remonter les cours, la Fédération Nationale Bovine appelle les éleveurs à ne plus envoyer d'animaux à l'abattoir. Une position difficile à tenir pour nos producteurs, qui ont besoin de rentrées financières. [Lire la suite]

La SAS Marché de Parthenay annonce, dans un communiqué, la réouverture du marché aux bestiaux à partir du lundi 20 avril. Les marchés au cadran bovin et ovin avaient en effet été fermés en raison du confinement dû à la pandémie de coronavirus Covid-19. Seuls des rassemblements (ou allotements) entre acheteurs et éleveurs pour des agneaux et des brebis avaient été organisés chaque semaine (NR du 2 avril).

Son téléphone n’arrête pas de sonner : éleveurs, acheteurs, cadres de la grande distribution… C’est Jean-Pierre Schmitt, responsable commercial de EMC2 Élevage (70 salariés, 122 M€ de chiffre d’affaires annuel) qui est à la manœuvre. Avec une perte sèche de 20 % du chiffre d’affaires en quinze jours, la filière bovine n’est pas encore sous respirateur. Mais des signes d’essoufflement sérieux apparaissent, sous un masque d’optimisme apparent. [Lire la suite]

Tant au niveau de la production animale que de la distribution aux professionnels et grand public, le groupe coopératif agricole Capel arrive à maintenir ses services en Corrèze. [Lire la suite]

Sur le marché du maigre, la production ne subit pas de régulation pour l’instant. Pour les broutards, nous sommes dans l’habituelle baisse saisonnière de l’offre. En parallèle, il n’y a pas de problème de demande en Italie, ces derniers ont la volonté de remplir les ateliers d’engraissement et par conséquence, faire tourner les abattoirs. [Lire la suite]

Arterris, groupe coopératif agroalimentaire dont le siège est à Castelnaudary dans l'Aude, annonce un remaniement de la direction à la suite de divergences de vues entre le conseil d’administration et la direction générale sur le fonctionnement de la gouvernance du Groupe. Le directeur général Jacques Logie a quitté son poste. Christian Reclus, actuel directeur général adjoint, assurera un intérim de la direction générale. [Lire la suite]

Christian Pèes, le président d’Euralis, a annoncé vendredi son indisponibilité ces prochains mois "pour des raisons de santé". En accord avec le bureau du conseil d’administration, réuni ce même vendredi 27 mars, il a proposé de nommer Christophe Congues en tant que président délégué, tandis que Philippe Saux garde la direction générale du groupe. [Lire la suite]

Ce mardi matin, le marché à bestiaux s’est tenu dans une ambiance maussade. En effet, « Nous n’avions que 25 gros bovins », indique Jean Laurent, vice président de la communauté de communes de la Baie du Cotentin en charge du marché. « Et en ce qui concerne les veaux, habituellement nous en avons au moins 200. Ce matin, nous n’en avons qu’une petite centaine ». Les négociations entre éleveurs et acheteurs ont été âpres et les prix revus à la baisse. « La semaine dernière, j’ai vendu un veau à 115 € et cette semaine, il faut beaucoup insister pour le vendre à 100 € », explique un éleveur. Il y a très peu d’acheteurs, se désole un autre vendeur qui a cédé un veau à 80 €, alors qu’il l’estimait à 110 €. « Nous n’avons pas encore pris de décision mais nous allons réfléchir à fermer ce marché jusqu’à la fin du confinement car il y a trop peu de monde. Ce n’est rentable pour personne », a déclaré Jean Laurent. Les opérations de transit vont, elles, se poursuivre.

La France est en « guerre sanitaire » et le « confinement » a un impact sur l’alimentation des Français avec le retour forcé du « fait maison » et une restauration hors foyer à la peine. Un scénario a priori favorable à une « renationalisation » de la consommation de viande bovine. [Lire la suite]

Alors que suite à l’arrivée du coronavirus les enseignes de la grande distribution ont vu leurs ventes gonfler suite au confinement des français et à l’arrêt des repas pris en restauration hors foyer, les éleveurs souhaiteraient pouvoir eux aussi tirer les fruits de l’actuelle renationalisation de la consommation française de viande bovine. [Lire la suite]

La consommation de viande est repartie à la hausse et pourtant le prix de vente des bêtes pour les agriculteurs diminue. Dans une rare unanimité, presque tous les syndicats appellent leurs membres à ne plus envoyer leurs bêtes à l'abattoir.  [Lire la suite]

La Commission européenne a proposé mercredi de nouvelles mesures pour soutenir les marchés agricoles les plus touchés par la crise du coronavirus, en particulier le lait et la viande. [Lire la suite]

Le prix de la viande bovine baisse dans les fermes, malgré le boom du steak haché, dopé par le confinement. Les éleveurs menacent les abattoirs de ne plus les livrer.[Lire la suite]

À la tête de 800 personnes, dont "les trois quarts dans le Lot", et notamment sur son site du Perié à Gramat, le groupe coopératif Capel, représente un poids non négligeable dans l’économie agroalimentaire du département. Depuis le début de la crise sanitaire, leur chiffre d’affaires a diminué de 25 %. [Lire la suite]

En raison de la crise sanitaire, le groupe coopératif Terrena enregistre une forte baisse de ses ventes dans plusieurs métiers : viande bovine, meunerie, horticulture, vin. Basé à Ancenis (Loire-Atlantique), le groupe coopératif Terrena (21 500 agriculteurs, 14 000 salariés) subit des « pertes financières importantes » à cause de la crise du Covid-19.

La Fédération nationale bovine (FNB) a appelé mercredi les éleveurs "à retenir, au maximum, leurs animaux en ferme" comme moyen de pression face aux abatteurs et distributeurs pour obtenir un prix de vente qui ne soit plus inférieur à leurs coûts de production. [Lire la suite]

Mardi 14 avril, la réouverture du marché ovin de Réquista s’est déroulée dans les meilleures conditions (le lundi 13 étant un jour férié). Les mesures de précautions sanitaires ont été strictement respectées. 660 agneaux ont été apportés et vendus permettant ainsi d’établir une cotation. [Lire la suite]

La crise du coronavirus a stoppé deux moteurs de la filière viande bovine : la restauration hors domicile et l’exportation. Éleveurs, abattoirs et foirails accusent le coup. [Lire la suite]

Le confinement généralisé en Europe bouscule le marché de la viande bovine. L’accroissement attendu des réformes laitières en France inquiète les filières allaitantes. [Lire la suite]

Avec le coronavirus, les commandes ont baissé et les agneaux restent dans les élevages. La filière a pris des mesures. Les syndicats en appellent à l’État. [Lire la suite]

Les restrictions prises par les différents Etats membres pour contenir la pandémie de Covid-19 auront inévitablement des effets sur les filières agroalimentaires, et donc sur le marché de la viande bovine. [Lire la suite]

Dans une lettre ouverte, la Fédération nationale bovine (FNB) demande au ministre de l’Agriculture d’instaurer, pendant toute la période d’état d’urgence sanitaire, un prix minimum payé aux éleveurs à hauteur de leur coût de production.[Lire la suite]