Les producteurs de bœuf français et irlandais vont pouvoir à nouveau exporter vers la Corée du Sud, un des plus grands acheteurs au monde qui avait imposé à l'Europe un embargo en 2001 après la « maladie de la vache folle [Lire la suite]

Bovins de races à viande : La demande sera assez modeste, mais les disponibilités dans les campagnes le seront aussi pour permettre un équilibre commercial.         

Bovins de races laitières : Le mois de juin, n’est jamais très favorable au commerce de la viande, avec des ménages qui préparent les vacances d’été et la fermeture progressive de la restauration scolaire. Néanmoins le recul de l’offre devrait permettre de maintenir les prix dans les laitières.   

Jeunes bovins : La demande sera plus régulière, pour compenser le manque de vache, mais les tarifs seront stables. [Lire la suite]

Les achats de dernière minute pour l’Aïd-El-Kébir devraient limiter la pression dans les mâles lourds, mais la suite sera plus douloureuse faute de consommation dans les magasins. [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : Le commerce devrait profiter des faibles disponibilités, mais les prix seront stables

Broutards : Le commerce restera assez fluide pour des tarifs qui vont se maintenir à des niveaux très convenables pour les éleveurs. [Lire la suite]

Pour observer, contrôler ou encore compter les animaux, les drones suscitent un intérêt grandissant de la part des éleveurs. En 2023, sur les 2032 éleveurs interrogés par l'équipe SM@RT élevage, 19% d'entre eux souhaitaient en faire l'acquisition. [Lire la suite]

Le mois de mai s’achève en Europe sur une globale stabilité des cours du porc même si quelques places laissent déjà apparaître les prémisses d’une évolution bien plus positive pour cette nouvelle semaine. Car les offres sont déjà insuffisantes malgré les récents fériés de mai qui ont ralenti l’activité et généré quelques reports. Mais ceux-ci sont sans comparaison avec les années précédentes tant la production européenne a baissé en 2023 sans présenter de réelles récupérations dans cette première partie de l’année 2024. [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : Le commerce devrait profiter des faibles disponibilités et d’une meilleure tenue des prix de la viande.     

Broutards : La demande hors UE devrait permettre de maintenir des tarifs très attractifs dans les broutards. [Lire la suite]

Le programme vise à prendre en charge les surcoûts liés à l’achat d’animaux reproducteurs et à la certification. [Lire la suite]

Un Webinaire de la chambre d’agriculture de Bourgogne-Franche-Comté retrace les résultats d’engraissement de jeunes génisses avec des rations riches en fourrage. S’il est possible d’atteindre des GMQ de plus de 1 kg tout en limitant le recours aux tourteaux, la qualité des fourrages doit être au centre de toutes les attentions. [Lire la suite]

Tout semble opposer les épisodes de sécheresse et ceux de pluie intense, et pourtant. Du fait du changement climatique, ces deux extrêmes marchent désormais main dans la main. [Lire la suite]

En cette période du mois de mai, le prix du porc connaît une stabilisation, restant tout de même au-dessus de 2,03 € tonne équivalent-carcasse. Cependant, les cours pourraient être revus à la hausse : une météo plus clémente à venir, les grillades et les Jeux Olympiques sont autant d'éléments qui impacteront le marché du porc. [Lire la suite]

Quatre stations expérimentales ont été mises à contribution pour évaluer l’intérêt d’une ration à base d’ensilage d’herbe pour l’engraissement des JB. S’il est possible d’obtenir les mêmes performances qu’avec une ration en base maïs, le résultat est beaucoup plus aléatoire, et conditionné à la qualité du fourrage récolté.[Lire la suite]

La demande restera peu soutenue dans les agneaux de pays, mais la tendance va se raffermir dans les lourds avec l’Aïd-El-Kébir le 16 juin. [Lire la suite]

En viande bovine comme en lait, l’actif important fait grimper le coût des reprises et réduit la rentabilité des capitaux. Mais entre les élevages spécialisés et les systèmes de polyculture-élevage, les écarts peuvent s’avérer conséquents. Quels éléments font la différence et permettent d’apprécier la transmissibilité d’une ferme ? [Lire la suite]

Veaux : L’offre restera insuffisante et les tarifs seront fermes en toutes catégories.     

Veaux de boucherie : Le recul de la demande va se faire sentir, avec des tarifs qui resteront à la baisse sur juin. [Lire la suite]

Des chercheurs se penchent actuellement sur l'introduction de l'intelligence artificielle en élevage, et plus précisément dans des ateliers d'engraissement de taurillons. En effet, le projet BeBop le prouve : la vidéo combinée à l'IA permettraient de repérer précocement des éventuels troubles chez les animaux. [Lire la suite]

L’IA investira-t-elle les stabulations ? Ce sera peut-être bientôt le cas : l’Idele entraîne actuellement un modèle d’intelligence artificielle pour détecter au plus tôt les anomalies en élevage bovin. Elle s'appuie sur l’observation des comportements, des postures et des activités de taurillons à l’engraissement et les analyse. [Lire la suite]

Avec 16 ha à valoriser, la ferme expérimentale de Thorigné-d’Anjou a réalisé quelques simulations pour tirer le meilleur profit de la surface. Et l’engraissement ne semble pas dénué d’intérêt. Mais pas question pour Benoît Daveau et Julien Fortin de faire ça n’importe comment : il faut que l’engraissement respecte les contraintes sociétales d’aujourd’hui. Pour ce faire, ils misent sur la production de bœuf, et le croisement angus. [Lire la suite]

Bovins de races à viande : Une météo plus favorable devrait permettre aux éleveurs de finaliser leurs semis de maïs. L’offre sera peu abondante et favorable à une remontée des cours pour des achats de début de mois. Ce beau temps devrait également lancer la présaison estivale sur la Côte d’Azur.    

Bovins de races laitières : Les industriels vont faire face au creux saisonnier de l’offre, ce qui devrait entraîner une hausse des prix dans les laitières. 

Jeunes bovins : Le commerce sera plus régulier, pour des tarifs qui seront plus facilement maintenus. [Lire la suite]

Veaux : L’offre restera insuffisante et les tarifs seront fermes en toutes catégories.  

Veaux de boucherie : Le recul de la demande va se faire sentir, avec des tarifs qui seront à la baisse sur juin. [Lire la suite]

Dans son nouveau Tendances lait et viande, l’Idele dévoile le bilan des cotations et la tendance des abattages pour le début du second trimestre de l’année. Le manque d’offres en vaches allaitantes se poursuit. En parallèle, les cours des jeunes bovins continuent leur baisse saisonnière. [Lire la suite]

Dans une stratégie sur la diversification des protéines qui vient d’être publiée, la Commission européenne identifie plusieurs leviers pour répondre aux besoins protéiques de l'élevage européen. Avec un objectif : diminuer la dépendance de l’Union envers les pays tiers. [Lire la suite]

Très dynamique depuis le début de l’année, le marché des jeunes veaux laitiers destinés à l’engraissement connaît encore une forte hausse des cotations en mai, poussées par le recul des naissances et la demande espagnole. [Lire la suite]

Bovins de races à viande : Le recul de l’offre devrait être favorable à une légère progression des prix dans les Charolaises R.    

Bovins de races laitières : Les industriels vont faire face au creux saisonnier de l’offre, ce qui devrait entraîner une hausse des prix dans les laitières. 

Jeunes bovins : Le commerce sera plus régulier, mais la hausse n’est pas encore programmée. [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : La demande va se concentrer sur les bonnes femelles proches de la finition.     

Broutards : Les volumes vont doucement progresser avec quelques sorties d’herbage. Les tarifs resteront attractifs, même s’ils auront tendance à se replier. [Lire la suite]