La semaine passée, alors que l’activité était ralentie partout en Europe en raison du férié du 1er mai, les cours du porc ont diversement évolué selon des conditions propres à chaque pays. [Lire la suite]

Le marché sera plus équilibré avec une consommation qui a bénéficié du soleil ce week-end. Les tarifs vont se stabiliser. La tendance se raffermira par la suite avec l’Aïd-El-Kébir le 16 juin. https://www.pleinchamp.com/actualite/ovins-le-commerce-reste-tendu

En mars 2024, l’activité dans les abattoirs de porcs repasse sous leurs niveaux de l’an dernier. En réponse à cette offre réduite, le cours du porc reste élevé. [Lire la suite]

Bovins de races à viande : Le commerce restera très calme avec une météo qui reste peu encouragent pour les grillades. Les commandes de début de mois devraient néanmoins permettre de tenir les prix dans les bonnes femelles.    

Bovins de races laitières : Les travaux de saison vont limier les disponibilités pour les abattoirs, mais ces derniers vont profiter de deux semaines écourtées pour limiter la hausse.

Jeunes bovins : La reprise des exportations sur la Grèce et le recul de l’offre des laitières devrait favoriser la stabilisation des prix des JB. [Lire la suite]

Et si le pâturage hivernal des brebis améliorait les prairies des bovins ? Des éleveurs qui mettent en œuvre cette pratique en témoignent et une étude¹ est en cours sur le sujet. [Lire la suite]

Une étude menée conjointement avec Statkraft et CVE, producteurs d’énergies renouvelables, et INRAE, l’Institut national de la recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement, a évalué les effets de la présence de panneaux photovoltaïques sur le pâturage ovin, principalement le bien-être animal, pendant une période de deux ans. [Lire la suite]

En 2023, les effectifs ont reculé dans tous les grands pays de l’UE détenant des vaches, à l’exception de la Pologne. La décapitalisation continue de toucher la France, mais on note un repli moins marqué du cheptel laitier ces derniers mois. [Lire la suite]

Le ministère de l’agriculture annonce le lancement d’un réseau de 350 fermes de référence pour suivre la pousse de l’herbe. Il permettra, dans le cadre de l’assurance prairie, d’évaluer les pertes de fourrages grâce à des données du terrain, et plus uniquement avec l’indice satellitaire. [Lire la suite]

Veaux : Le niveau de l’offre restera insuffisant pour la demande ce qui devrait continuer d’animer les échanges avec une forte concurrence entre les opérateurs.   

Veaux de boucherie : Les besoins seront un peu moins soutenus mais le temps frais reste positif pour tenir les ventes. [Lire la suite]

Les marchés restent fortement approvisionnés avec des éleveurs qui se séparent des animaux qu’ils ne veulent pas garder avant la mise à l’herbe. [Lire la suite]

Clôture virtuelle, imagerie comportementale, scanner 3D, drone ou encore intelligence artificielle : l’élevage bovin profite des dernières technologies pour être encore plus précis et apporter des outils supplémentaires aux éleveurs. [Lire la suite]

En l’espace de 10 ans, le prix de l’électricité en élevage a énormément évolué. Il est passé de 12 ct du kWh en 2013 à 23 ct du kWh en 2024. De ce fait, l’énergie qui ne représentait qu’une portion minime dans le coût de production des éleveurs (environ 2 %) commence à peser de plus en plus lourd. [Lire la suite]

Les offres, bien que peu élevées en dépit des quelques reports d’abattage, sont adaptées à la demande qui peine toujours à décoller de façon significative. Pour la plupart des observateurs de marché, les cours devraient évoluer assez peu au cours de ce mois d’autant plus que le mois de mai va se présenter avec son défilé de jours fériés. [Lire la suite]

Bovins maigres +18 mois : La demande sera plus régulière dans les bonnes herbagères.     

Broutards : La reprise d’activité se fera avec plus de volumes et des besoins avant une nouvelle semaine perturbée par le lundi de Pentecôte. https://www.pleinchamp.com/actualite/bovins-maigres-commerce-tres-perturbe-par-deux-feries-consecutifs

Veaux : La demande va se renforcer pour des volumes qui resteront juste suffisants. La tendance sera à la fermeté des prix.

Veaux de boucherie : La demande va se tasser après la Pentecôte, ce qui va peser sur la tendance. https://www.pleinchamp.com/actualite/veaux-petite-semaine-cours-stables

Bovins maigres +18 mois : Le commerce des 15 prochains jours sera fortement perturbé, par les fériés et par les travaux de saisons.    

Broutards : Les engraisseurs français et étranger sont fortement préoccupés par les niveaux tarifaires des broutards et pourraient faire pression sur les prix. [Lire la suite]

Les abatteurs scrutent de très près la météo pour les ponts de mai, car elle sera l’élément déterminant pour leurs commandes. [Lire la suite]

La digitalisation des informations permettra de simplifier les démarches des éleveurs. [Lire la suite]

Si Christophe Roger vend ses veaux au travers du marché de niche structuré par Bretagne viande bio, le marché du veau sous la mère est quant à lui saturé au niveau national. Afin de tester un autre débouché possible pour les veaux laitiers croisés, le Cirbeef (Mauron, 56) a expérimenté leur engraissement en jeunes bœufs dans le cadre du projet Valoveau. [Lire la suite]

Une étude a été lancée sur les émissions d’ammoniac d’origine agricole. Avec une finalité : les réduire, pour une meilleure qualité de l'air et moins de gaspillages d'azote. Le pays d’Iroise (Finistère) a été choisi comme territoire pilote. (Article initialement paru le 23 octobre 2023) [Lire la suite]

Bovins de races laitières : Les travaux de saison vont faire chuter les apports dans les abattoirs, ce qui devrait entraîner un léger relèvement des prix.

Jeunes bovins : Le commerce restera calme, mais les tarifs vont se stabiliser. [Lire la suite]

Le niveau de l’offre restera modeste dans les bons agneaux, ce qui devrait permettre de limiter la pression des abatteurs. [Lire la suite]

Détecter tôt les lésions des pieds chez les ovins et les bovins allaitants grâce à des caméras infrarouges, telle est l’ambition de l’étude multipartenariale Thermopod, pilotée par l’Institut de l’élevage. [Lire la suite]

Bovins de boucherie : 293 dont 4 bœufs, 60 génisses, 212 vaches, 5 taureaux, 12 jeunes bovins. L’activité commerciale est correcte avec des tarifs qui se maintiennent dans les bonnes femelles Parthenaises, Blondes d’Aquitaine, Limousines ou Charolaises de qualité bouchère. Les tarifs sont également sans changement avec un commerce régulier dans les Charolaises, Rouges des Prés ou croisées R et O de conformation. Le marché reste à l’équilibre avec des tarifs inchangés dans les vaches Prim’Holsteins et Normandes. En jeunes bovins, les abatteurs maintiennent la pression sur un marché où l’offre couvre aisément la demande. [Lire la suite]

Sur les cadrans, les broutards sont vendus entre 4 et 5 €/kg vif selon les races. La majorité de ces animaux très bien valorisés est destinée à l’exportation. [Lire la suite]